1885 / 5 p. 4 (Deutscher Reichsanzeiger, Wed, 07 Jan 1885 18:00:01 GMT) scan diff

méritent les droits de souveraineté signalés aux égards de la Con- ference.

Le Baron Lambermont rappelle qu’il a expressément men- tionné dans s0n Rapport les intentious manifestées par la Com- mission dans le sens des explications qui précèdent.

Le Baron de Courcel, en ce qui concerne spécialement les prérogatives du Sultan de Zanzibar, prend acte de Il’accueil favorable que ses cxplications ont rencontré de la part de la Haute AssembIée,

De son côté, M. Busch prend acte que d’après les intentions de la Conférence, les réserves établies au profit des souverainetés existantes dans le bassin du Congo ne sauraient concerner des territoires possédés ou à acquérir par l’une des Puissances con- tractantes. Anucune restriction ne pourra être apportée à l'appli- cation du régime conventionnel dans tous les territoires, sans exception, qui sont au seront placés sousla souveraiueté de l’une des Puissances représentées dans la Hante Assemblée.

M: Kass0n demande s'il ne conviendrait pas d’affirmer ex- plicitement les intentions de la Conférence de resrecter, d’une manière générale, les droits des chefs indigènes qui se trouvent dans la région délimitée par les Actes, Viser exclusivement une réclamation du Sultan de Zanzibar, ce serait, en quelque sorte, reconnaître indirectement les droits auxquels il prétendrait. N'’y anurait-il pas lieu de remanier dans cet esprit la rédaction du projet de Déclaration relative à la liberté du commerce au cas il y serait introduit un amendement afférent à Zanzibar?

Le Baron de Courcel dit que l’on pourrait modifier à cet effet le texte de l'Article I de la Déclaration, mais pour sauve- garder les intérêts spéciaux dont il a entretenu la Conférence, il considère, quant à lui, comme suffisante l’insertion dans le Pro- tocole de ses observations.

M. Busch croit qu’il ne serait pas sans inconvénient de remettre en question le texte déjà adopté par la Conférence. II sera facile de mentionner au Protocole les renseignements cóm- muniqués par les Représentants de la France et de la Grande

Z3retagne concernant les droits éventuels du Sultan de Zanzibar, et d’'indiquer d’une manière générale que la Conférence entend y avoir égard s'ils sont fondés, sans, d’ailleurs, que cette obser- vation implique la reconnaissance d’aucune prétention. Enfin, le Protocole pourrait constater les sentiments de la Haute Assemblée relativement aux ménagements à observer vis-à-vis des chefs in- digènes dont la situation préoccupe M. Kasson.

Le Baron de Courcel et Sir Edward Malet se rallient volontiers à cette manière de voir, au snujet de laquelle Saïd Pascha exprime également son approbation et qui obtient l’ad- hésion de tous les Plénipotentiaires dans la Haute Assemblée.

Le Comte Kapnist demande à placer sous le patronage de la Haute Assemblée un vœu émis dans plusieurs Congrès de météorologues et chaleureusement recommandé au (Gouvernement Russe par le président du Comitè International de météorologie, M, Wild, qui est en même temps chef de l’observatoire de St.- Pétersbourg. 11 s’agirait de faciliter l’établissement d’une station météorologique dans les régionszsupérieures du Congo. On sait les progrès que les observations d’après le gystème horaire des climats dans différents pays ont fait faire à la science dans ces derniers temps. Comme ces observations, en dehors de leur intérêt scientifique, peuvent être d’une grande utilité pratique pour le développement de la culture dans les régions qui forment Pobjet de la présente Conférence, la Haute Assemblée voudra peut-être accueillir favorablement, et enregister dans Ses Proto- coles, le vœu du Comité International de météorologie. Des données précisges sur le climat de l'Afrique manquent absoln- ment, tandis que le Comité météorologique en a recueilli déjà daus toutes les autres parties du monde. L'établissement d’une station dans les contrées peu explorées qui occupent la Haute Assemblée offrirait d’assez grandes difficultés et dépasserait les moyens du Comité météorologique. La Commission locale de nayi- gation qui sera établie au Congo sera en mesure, le cas échéant, d’offrir, à peu de frais, un concours précieux pour l'établissement de cette station, et un vœu enregistré par la Conférence pourrait lui servir de point de départ dans cette voile. Le présídent du Comité de météorologie, M. Wiid, se mettrait, dans ce cas, à la disposition de la Commission, pour lui donner toutes les indications techniques nécessaires.

M. Busch pense que l’on pourrait mentionner au Protocole la recommandation demandée par le Comte Kapnist et dont l’objet semble de nature à mériter la sollicitude de la Conférence.

La Haute Assemblée exprime s0n adhésion à cet égard.

Le Président aborde le point de l’ordre du jour. II donne lecture d’une proposition, dite du Comité de rédaction, re- lative à l’'insertion, dans la Déclaration afférente à la liberté commerciale, d’un Article additionnel affirmant et définissant la neutralité de la zone franche (Annexe No, 1.) (No. 33 des docu- ments imprimés).

Les auteurs de ce texte ont pris comme base de leur trayail la motion primitivement formulée par M. Kasson qu'ils ont trans- formée en l’amendant. M. Busch lit ensuite le texte d’un paragraphe additionnel que le Représentant de la Grande-Bretagne désire faire ajouter au alinéa de la proposïition susmentionné (Annexe No. II. (No. 34 des documents imprimés). Le Président donne enfin connaissance des propositions, dites éventuelles. prégentées par le Plénipotentiaire d’Italie et se rapportant au même sujet (Annexe No. IIL) (No. 26 des documents imprimés),

A cette occasiíon, M. Busch fait, au nom du Gouvernement Allemand, la Déclaration sguivante:

„Le Gouvernement Impérial est heurenux de con- stater qu'après de longues et laborieuses délibérations, la Conférence est axrrivée à se mettre d’accord sur une grande partie du programme qui lui ayait été s0umis, lors de sa convocation. En effet, les principes établis dans la Déclaration relative à la liberté commer- ciale dans le bassin du Congo et Vensemble des dis- posítions consignées dans les deux Actes de navigation du Congo et du Niger sont de nature à assgurer au com- merce de toutes les nations le libre accès à une vaste partie du continent Africain. Mais pour que ces Prin- cipes adoptés à l’'unanimité portent réellement les frnits que nous nous en promettons, il faudrait, dans l’opinion du Gouvernement Allemand, les couvrir d’une garantie supplémentaire propre à encourager. les entreprises du commerce, en leur assurant la protection dn droit inter- national contre les dangers de guerre dont elles Pour- raient être menacées,

„Cette garantie consisterait dans un engagement mutuel que prendraient les Puissances de renoncer à étendre en temps de gnerre leurs hostilités aux terri- toires formant le bassin commercial du Congo. Cet engagement ne serait que le complément des dispositions déjà adoptées par la Conférence, Faute de garantie contre les dangers de guerre, les établissecments à fonder dans ces pays manqueraient de la principale condition de réussite, de la confiance dans le maintien de l’'ordre public et dans la sécurité des droits acquis.

„C’est dans cet ordre d'idées que la proposition faite par M. le Plénipotentiaire des- Etats-Unis d’Amérique s80us le No. 22 des documents imprimés, en vue de la neutralisation du bassin du Congo, a été salnée avec une vIive satisfaction par le Gouvernement Impérial.

„Dans lexposé dont M, Kasson a accomPpagné 8a Proposîtion, il a signalé à quels dangers les commer- cants et leurs entreprises se verraient exposés, les Puissances ne s’entendaient pas sur la neutralisation du bassin du Congo. En effet, les conditions dans les- quelles l’Afrique centrale est sur le point d’être ouverte

premières époques de l’histoire de l’Union Américaine, 11 F aurait donc lieu de profiter du conseil qui Vvient d’être douné de la part du Gouvernement d’un pays qui a tant souffert des guerres entre des Puissances Euro- péennes et de la part qu’y ont prise les naturels du Pays. „Le Gouvernement Impérial est prêt a adhérer à la proposition Áméricaine s0ous la forme de rédaction qui a été soumise à la Conférence sous le No. 33 des docu- ments distribués aux Plénipotentiaires.“

M. Kasson déclare adhérer à la rédaction distribué sous le No. 33.

Le Comte de Launay fait remarquer que ses deux propo- sitions éventnuelles (No. 26 des documents imprimés) ont été com- muniquées aux Plénipotentiaires avant qu’il ait eu connaissance de la rédaction du document imprimé s0ous le No. 33. II se félicite de trouver reproduite dans ce dernier document une partie des idées qu'’il avait pris l’initiative de soumettre à la Conférence, et il remercie le Comité de rédaction de les avyoir ainsi appliquées.

Sir Edward Malet est heureux de constater l’accord qui s’est manifesté entre les Représentants de l’Allemagne et ceux des Etats-Unis, pour adhérer à la proposiîtion actuellement soumise à la Conférence. II joint son adhésion à celle exprimée, au nom des deux Gouvernements, en faveur da projet présenté par le Comité de rédaction. II désire seulement qu'il soit ajouté à ce texte l'alinéa, indiqué danus le document imprimé sous le No. 34.

Le Comte de Launay est convaincu de linsuffisance de l’œuvre de la Conférence, si l’immunité de guerre, déjà stipulée en faveur de la navigation marchande, ne devait pas s’étendre aussì aux territoires compris dans le bassin conventionnel du Congo. En invogquant, à l’appui, les motifs contenus dans le mémoire présenté par le Plénipotentiaire des Etats-Unis d’Amé- rique, le Plénipotentiaire d’Italie s’associe à la proposiíition de M. Kass0on, ou à toute autre comme celle présentée par le Comité de rédaction (No. 33), qui se rapprocherait le plus de ses dispositions essentielles. Celles-ci ne sauraient porter atteinte à la souveraineté des Etats qui possèdent ou posséderont des colonies dans les régions susmentionnées, du moment où, en tonte liberté, ils auraient donné leur assentiment à un régime conforme d'’ailleurs à Vlintérêt commun.

Le Baron de Courcel dit que s0n Gonvernement apprécie autant que tout autre les bienfaits d’une paix perpétnuelle. Quant aux stipulations précises actuellement proposées à l’agrément de la Conférence en vue d'’assurer ces bienfaits au domaine de la liberté commerciale, le Représentant de la France a déjà développé, devant la Commission, les motifs pour lesquels elles lui paraissent ou superflues ou impraticables Il ne croit pas nécessaire de revenir sur les arguments qu'il a déjà fait valoir à ce sujet et se borne à exprimer le regret de n'avoir pu, jusqu'à présent, adhérer à des proposïtions analogues à celles dont s'occupe en ce moment la Conférence.

Le Comte de Launay répond que l'expression „jusqu'à présent“ employée par le Baron de Courcel laissé encore quelqu’espoir qu’à un moment donné et s0ous une forme quelcongqne, il pourra être trouvé une rédaction de nature à obtenirl’'adhésion du Pléni- potentiaire de la France L’Ambassadeur d’Italie estime que la question ne devant pas être considérée comme définitivement écartée, il ne sera pas superflu de donner quelques cxplications relatives à ses deux propositions éventuelles.

Dans la première, il élimine le terme „neutralits“ et lui substitue nne renonciation des Puissances à étendre toute action militaire au bassin du Congo, ainsi que sur la mer territoriale faisant face aux embouchures de ce fleuye,

Il a présenté une autre proposition subsidiaire. Son Excellence hésitait à suggérer un arbitrage, lors même qu'’il ne s'agirait que d’une application restreinte de ce système et bien que l'Italie, en ce qui la concerne, ait déjà introduit ce principe dans plusienrs Traités de commerce, de navigation, etc. Mais, à défaut d'un engagement mutuel de ne pas porter la guerre dans les terri- toires commerciaux définis dans la première Déclaration de la Conférence, il conviendrait peut-être, en ce qui les concerne spécialement, de donner plus d’efficacité au vœu émis par le Congrès de Paris. (Séance du 14 avril 1856. Protocole No. XXIIIT). Le Comte de Launay en rappelle les termes. *)

Le vœu se transformerait en lengagement s'il se pro- duisait un dissentiment sérieux de recourir à l’action média- trice d'une Puissance amie avant d'en appeler aux armes.

Dans cette proposition il n’y a rien également gui puisse borter atteinte au respect aux droits et à lindépen- dance des Etats qui, en définitive, resteront seuls juges des exigences de leur honneur et de leurs intérêts. Le médiateur fournirait aux Parties en litige loccasion de s’expliquer et d’entendre une voix amie et impartiale qui les disposerait peut- être à l’aplanissement des difficultés. Il importerait de ne Pas en négliger la chance.

C'est précisément parce que, à certains égards, Il’Italie peut

se montrer plus désintéressée, dans les régions de l'Afrique cen- trale et occidentale que d’autres Etats, et parce que le (Gouverne- ment du Roi s’applique, selon Son programme, à contribuer pour Sa part au maintien de la paix, que le Plénipotentiaire de Sa Majesté se sent encouragé à exprimer ainsi sa manière de voir. Toutes les Puissances ici représentées cherchent, sans arrière- pensée, à concilier dans une mesure éguitable les vues politiques avec les intérêts moraux ct matériels dont elles entendent favo- riser et assurer le développement pacifique. Leurs Plénipoten- tlalres s0nt animés des mêmes dispositions. Il y a donc lieu d'espérer que, moyennant quelque compromis, la Conférence saura trouver une solution satisfaisante. Le Comte de Launay ajoute qu'à la présente séance il paraît impossible d’obtenir l’unanimité en faveur d’une des Propositions actuellement en délibération, mais que la question pourrait être utilement renvoyée à une des prochaines séances. D'ici là, les Plénipotentiaires auront reçu des instructions nouvelles, une formule de conciliation aura. été recherchée et peut-êt:e l'accord pourra-t-il s’établir.

Le Président consulte l’Assemblée au snujet de l’ajournement de la discussion,

Said Pacha se prononce en fayeur du renyoi.

M. Kass0n désire ajouter que sa proposition n'a pas un objet théorique, mais bien un objet pratique. Il s'agit de couronner l’œuvre de la Conférance en assurant la sécurité des entreprises qui vont être tentées et des ecss8ais commmerciaux qui vont être poursuivis dans l’Afrique centrale.. La guerre n'a pas seulement pour effet d’'interrompre le développement d’'une œuvre commerciale et civilisatrice, elle détruit le travail de longues années, Le Plénipotentiaire des Etats-Unis accepte l’ajournement du débat, dans l’espoir qu'il facilitera la recherche d’une formule acceptable pour tous,

Sir Edward Malet adhère à l’ajournement dans la même pensée.

__ Ta Hante Assemblée prononce le renvoi de la discussion à une séance suivante,.

Le Président mentionne l'approche des fêtes de fin dl’année et consulte divers Plénipotentiaires relativement à l’'opportunité dl’interrompre, en conséquence, pendant quelques jours, les travaux

du document

®) Extrait du Protocole No. XXIII de la séance du 14 avril 1856 du Congrès de Paris:

„Les Plénipotentiaires n’hésitent pas à exprimer, au } nom de leurs Gouvernements, le vœu que les Etats entre lesquels s'élèverait un dissentiment sérieux, avant d’en appeler aux armes, eussent recours, en tant que les circonstances l’admettraient, aux bons offices d’une

à la civilisation, offrent bien des analogies avec les

de la Haute Assemblée. A la suite de cet échange d’idé« M. Busch fait connaître que ni la Conférance, ni la Commissio1 ne seront convoquées avant le §5 janvier.

La séance est levée à 4 heures 1/4.

SZÉCHÉNYI.

CTE AUGTE yAN DER STRATEN PONTHOZ. BN LAMBERMONT.

E. VIND.

COMTE Dex BENOMAR. JOHN A. KASSON.

H. S. SANFORD.

ALPH. DE COURCEL.. EDWARD B. MALET. LAUNAY.

F. P. VAN DER HOEVEN. MARQUIS De PENAFIEL A. DE SERPA PIMENTEL. CTE P, KAPNIST.

GILLIS BILDT.

SAID.

BUSCH,

v KUSSEROW.

8sÍgné :

RAINDRE. COMTE W. BISMARCK. SCHMIDT.

Annexe o, I au Protocole No, 6.

Proposition

du Comité de rédaction pour un AÁrticle additionnel à la Déclaration relative à la liberté du commerce dans le bassin conventionnel du Congo,

(No. 33.)

Afin d’asgurer le maintien de Ila liberté du commerce et de la navigation, même en temps de guerre, dans toutes les contrées mentionnées aux paragraphes 1 et 2 de l’Article I de la présente Déclaration et placées sous le régime de la liberté commerciale, les Puissances signataires de la présente Déclaration adoptent les principes suivants :

La totalité du bassin, y compris les territoires qui s’y tronvent soumis à la souveraineté ou au protectorat d'une des Puissances belligérantes, sera considérée comme territoire d'un Etat non- belligérant.

En conséquence, dans le cas d’'une guerre entre des Puis- sances signataires de la présente Déclaration, celles-ci s’engagent a renoncer ò, étendre les hostilités aux territoires compris dans ce bassin ou à les faire servir de base d’opérations de guerre.

Sera interdit aux vaisseaux belligérants le séjour dans eaux territoriales de ce bassin, sauf en cas de tempête ou de réparations nécessaires.

Dans ces cas le vaisseau belligérant quittera ces eaux, aussitôt que la tempête aura cessé ou que les avaries aurónt été réparées ; il ne pourra y prendre du charbon qu'’en quantité suffisante peur lui permettre d'’atteindre le port national le plus proche, síitné en dehors dudit bassin.

Dans le cas des difficultés s'élèveraieût entre des Puissances signataires de la présente Déclaration qui exerceraient des droits de souveraineté ou de protectorat dans ledit bassin, les parties renoncent à recourir aux hostilités dans le même bassíin et s’engagent à faire appel à la médiation ou à s'en remettre à lar- bitrage d’une ou de plusieurs Puissances amies,

Ces engagements s'étendront également aux Etats indépen- dants établis ou qui s’'établiraient sur le littoral de Îa zone orientale, mentionnée au paragraphe 3 de l’Article I de la présente Déclaration, sous réserve de leur consentement.

les

Annexe No, II au Protocole No. 6.

Proposition (No, 34.)

de M. le Plénipotentiaire de la” Grande-Bretagne d'ajcater à la fin du 4‘ alinéa de la Proposition No. 33 les mots sUuivants:

„et il ne pourra, aprèòs avoir pris du charbon s0us ces conditions, le prendre dans les mêmes eaux qu’après un intervalle de trois mois,“

Annexe No. III au Protocole No, 6.

Proposition éventuelle de M. le Plénipotentiaire d'’Italie.

(No, 26) No, L.

Les Puissances signataires du présent Ácte et celles qui y accéderaient à l’avenir, renoncent, le cas échéant, à étendre toute action militaire au bassin du Congo, ses embranchements, ses affluents et ses embouchures, ainsi que sur la mer territoriale faisant face aux embouchures de ce fleuve.

No. 2. Proposition subsidiaire,

Dans le but de prévenir, autant que les circonstances l’ad- mettraient, et sans toutefois porter atteinte à l’indépendance des Gonvernements, les conséquences d’'une guerre qui pourrait s’étendre au bassíin du Congo, ses embranchements, ses affluents et ses embouchures, ainsiì que sur la mer territoriale faisant face aux embouchures de ce fleuve, et pour ce cas spécial, les Etats signa- taires du présent Ácte, et ceux qui y accéderaient à l’avenir, entre lesquels s'élèverait un dissentiment sérieux, s’'engagent avant d'en appeler aux armes, de recourir à l’action médiatrice d’une Puis- s8ance amie.

Puissance amie,“

Certifié conforme àÀ l’original :

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Hreuß. Staats-Anzeiger und das Central-Handels register nimmt an: | des Deutschen Reichs-Anzeigers nud Königlich Preußischen Staats-Anzeigers: Berlin 8W., Wilhelm-Straße Nr. 32.

E Steckbriefe und Untersuchungs-Sachen. {60673 Steckbrief.

[E den früheren Hülfsgefangenwärter Emil Braun aus Cafsel, geboren zu Wilhelmshausen am

10. März 1857, welcer flüchtig ift, foll eine dur vollstreckbares Urtheil des Königlichen Landgerichts ¿zu Cassel vem 22. September 1884 erkannte Ge- fängnißstrafe von 1 Jahr 6 Monaten vollstreckt werden. Es wird ersucht, denfelben zu verhaften und in das nächste Gerichtsgefängniß abzuliefern bei Nachricht hierher zu den Akten L. 106/84.

Cassel, den 27. Dezember 1884.

Der Königlicbe Erste Staatsanwalt. Wilhelmi. [69675 ; A c

Die hinter den Arbeiter Karl Robert Rudolf Hesse aus Fürstenwalde unterm 15. Januar 1884 er- lassene Strafvoollstreckungs-Requifition ift erledigt.

Müncheberg, den 6. Januar 1885.

Königliches Amtsgericht.

[60484] Ladung. Non na(stehenden Mannschaften:

1) den Wehrmann, Knecht Christian Friedri Krause, geboren am 7. Juni 1850 zu Königstadt,

Ki cis Ruppin,

9) den Wehrmann, Knecht Ferdinand August Kube, geboren am 1. März 1850 zu Raduhn,

eis Königsberg, S A ge Silberarbeiter Emil Pete Philipp König LS, gevoten om 9. Dezember 1850 in Potsdam, Kreis Vteder-Barntm, E V i I r aa, Tischler Carl Friedri) Albert Gehrfe LL., geboren am 2, Mai 1852 zu Klein- Rambin, Kreis Belgard, B.

5) den Wehrmann, Tischler Friedrich Herrmann Herfurth, gebocen am 24. Mai 1854 zu Brausen- tein, Kreis Pirna j 6) jy Meta Johann Carl Herrmann Geßner, geboren am 2. November 1854 in Zinno, Kreis Jüterbogk-Luckenwalde,

7) den Wehrmann, Korbmacher Gustav Otio Köster, geboren am 31. Juli 1853 in Berlin,

8) den Wehrmann, Maurer Johann Herrmann Friedrih Hauer, geboren am 23. März 1856 în ‘Richnau, Kreis Thorn,

9) den Wehrmann, Kurg, geboren am 20. Kreis Thorn, E

10) den Wehrmann, Schuhmacher Gottlieb Ernst Franz Hippe, geboren am 3. November 1855 in Drossen, Kreis Sternberg, .

11) den Reservisten, Bäcker Friedri Wilhelm Grabowsfy, geboren am 16, Dezember 1859 tin Kunzendorf, Kreis Mohrungen, S

12) den Reservisten, Kutscher Friedrich Wilkelm Krenz, geboren am 12. Oktober 1857 in Wolden- berg, Kreis Friedeberg, |

13) den Oekonomie- Handwerker, Schneider August Friedrich Rose, geboren am 9. Juni 1852 in Dor- gau, Kreis Pr. Holland,

Schlosser Otto Johann Dezember 1858 in Kuhnsee,

14) den Oekonomie - Handwerker , Scuhmacber Robert Theodor Schulz, geboren am 13. Juni 1848 in Samter,

15) den Oekonomie - Handwerker, Schuhmacher

Johannes Munkow, geboren am 5. Mai 1854 in Alte Kranzig, Kreis Bomst, : 16) den Oekonomie-Handwerker, Schneider Fried- rich Silbert, geboren am 24. August 1857 in Murogaischen, Kreis Darkehmen, E 17) den Wehrmann, Arbeiter Ernst Reim, ge- in Schlabodschine,

boren am 8. Dezember 1851 Kreis Militsch, y

18) den Wehrmann, Arbeiter Johann Peter Patjolsky, geboren am 25. Dezember 1851 in

Sade, Kreis Fraustadt e 19) den Wehrmann, Schuhmaher Heinrich Klug, geboren am 16. Januar 1851 in Boltenhagen, Krets

Greifswalde, : i

29) den Wehrmann, Schmied Robert Weichsel, geboren am 19. Mai 1852 in Wierzaka, Kreis Posen,

21) den Wehrmann, Schmied August Johann Carl Mogel, deren am 16. August 1355 in erzberg, Kreis Storkow, i 95 den Reservist, Schuhmacher Wilhelm Herr- mann August Jlgen, geboren am 1. April 1855 in Polzin, Kreis Belgard, : “20 den Wehrmann, Tagearbeiter Adalbert Grâf- ling, geboren am 6. April 1852 in Lazek, Kreis Sc&rimm, E 24) den Unteroffi:ier der Landwehr, Maurer Carl Friedrich Wilhelm Schönberg, geboren am 21. Inni 1851 in Cremmen, Kreis Ost-Havelland, 95) den Arbeits\oldat 1I. Klasse, Kaufmann Paul

Dörschlag, geboren am 29. Oktober 1855 in Rutßéndorf, Kreis Conit, 9%) den Wehrmann, Schlä&ter Gustav Ernst

Brauckhoff, geboren am 30. Juni 1854 in

Giebichenstein, Saalkreis,

97) den Gefreiten der Reserve, Maurer Carl

Friedri Wilhelm Neumann, geboren am 11. Juni

Friedrich Rudolf Schöneberg, geboren am 24. Oktober 1858

1857 in Stolpe, Kreis Nieder-Barnim, 28) den Reservist, Schlosser Carl

in Gröbzig, Kreis Köthen,

29) den Wehrmann, Sattler und Kellner Julius Lars geboren am 27. April

Adolf Ludwig Salzwedel, 1850 in Stettin,

30) den Reservisten, Reitknecht Ernst Herrmann Hippler, geboren am 29. Juni 1856 in Christburg,

Kreis Stuhm,

31) den Wehrmann, Schlächter Emil Friß Wil- am 21. April 1893 in

Reserve, Schreiber Paul geboren am 26. April

helm Weimar, Berlin, i 32) den Unteroffizier der Friedrih Wilhelm Zenke, 1861 in Pyritz, Preußen,

geboren

33) den Wehrmann, Steinhauer Johann Gottlieb

Maier, geboren am 7. Februar 1853 in Steien bronn, Kreis Stuttgart,

ÆM gnserate für den Deutschen Reichs- und Königl,

die Königliche Expedition

1, Steckbriefe nnd Untersnchungs-Sachen. 2. Subhastationren, Aufgebote, Vorladungen u. derg]. 3. Verkäufe, Verpachtnngen, Sabmissionen etz, 4. YVerloosung, Amortisation, Zinszahlnng u. 8. w. von öffentlichen Papieren.

am 12. Dezember 1857 Abtshagen, Kreis Schlawe,

geboren, :

35) den Kellner Gustav Rudolf Hinze, am 16, Fanuar 1852 zu Oderberg, Kreis Angermünde, geboren,

36) den Wehrmann, Tifchler Richard Carl Rein- hold Brauuschweig, am 9. März 1853 Stettin geboren, j 37) den Wehrmann, Maurcr Carl August Freter, am 2. Oktober 1851 Coeslin geboren, 38) den Reservisten, Kaufmann Friedrih Ecnst Bieder, am 9. August 1859 Sc{önhausen, Kreis Wirsitz, geboren, 39) den Wehrmann, Tischler Adolph Heinrich Reinsch, geboren am 18. November 1851, zu Habel- \chwerdt, 40) den Reservisten, Tisbler Carl Plebnch, am 3. März 1857 Neuteich, Kreis Marienburg, ge- boren, : 41) den Wehrmann, Arbeiter Johann Robert Kramsfe, am M Januar 1854 zu Alt-Tirschtiegel, Kreis Meseriß, geboren, : - L 42) den Arbeitsfoldaten II. Klasse, Cäsar Adolf Anton Herrmann Hugo R Hans Golde, geboren am 16. August 1859 zu Berlin, 43) den Wehrmann Carl August Julius Feikert, geboren am 9. August 1853 Limmrit, 44) den Wehrmann Wilhelm Erdmann, geboren am 17. März 1855 zu Neu-Lögow, 45) den Reservisten, Kaufmann Friedri Johannes Anton Hippe, am 27. Februar 1857 zu Arnimshain, reis Templin, geboren, Y 46) den e, Arbeiter Robert Anton Otto Ebert, geboren am 23. Juni 1850 zu Meseriß, 47) den Reservisten, Sattler Alexarder Herrmann Ferdinand Walker, geboren am 2. Oktober 1859 zu Fahrland, Kreis Osthavelland, S 48) den Wehrmann, Kutscher David Ferdinand Martin Westphal, geboren am 4. März 1855 in Lupowske, Kreis Bütow, O 49) den Reservisten, Böttcher Carl Friedri Wil helm Brasch, geboren am 25. September 1857 zu Anclam, E n den Reservisten, Maschinenbauer Carl Fried- rid Wilhelm Thewes, geboren am 14, Oktober 1857 in Berlin, ] 51) den Reservisten, Schiffer Friedrich Albert August Gaede, geboren am 22. Auguft 1857 zu Stettin, 29) den Wehrmann, Schneider Richard Carl Albert Hoffmann, geboren am 15. Mai 1859 zu Mewe, Xreis Marienwerder, : i 53) den Wehrmann, Friseur Friedrich David Thiede, geboren d 29. Februar 13852 zu Tempel- urg, Kreis Neustettin A Webemáiik, Bäcker Frarz Andreas Preuschoff , geboren am 3. November 1853 zu Braunsberg i. Pr., . L 55) den E rolffen I. Klasse, Arbe Ler De Anton Schmidt, aeboren am 17. April 1860 zu Kamnißz, Krets Neisse, 06) ‘den Webrmann, Knecht Wilhelm Schnabel, am 13. November 1849 in Giegel, Kreis Konitz, boren : p ‘den Wehrmann, Knebt Johann _Gustav Schewa L., geboren am 7. Januar 1845 in Sawutlt, Kreis Konitz, ; E) den Oekonomie-Handwerker, Schneider _ Paul acob Gierszewsfi, geboren am 4. März 1346 zu Frankenhausen, Kreis Konitz, : : : 59) den Oekonomie-Handwerker, Schneider Gmil Arnold Duchrau, geboren am 2. September 18349 in Koniy, i i 60) dln Wehrmann, Kellner Friedrich Wilhelm Hildebrandt, gn am 5. Februar 1851 zu opfgarten, Kreis Weimar, 0 den Ersatzreservisten I. Klasse, Josef Caspar Drexel, geboren am 20. Mai 1860 zu Augsburg, 62) den Wehrmann, Schuhmacher Jacob August Rimfkus, geboren A a 1801 ¿U Bischofswerder, Kreis Rosenberg, E 8 A Wehrmarn, Tischler HeinriÞ Albert Deckert, geboren am 2. Januar 1848 zu Bernstein, Kreis Sordin, / 64) ten Reservisten, Baar Albrecht, geboren u Berlin, j : d den Wehrmann, Tischler Carl Altroin Hut- \schenureiter, A t e Mitt 1852 in Burghausen, Kreis HoyerLwerda, : a A | Wehrmann , Möbelpolirer Herrmann Friedrih Friese, ee am 17. April 1855 zu ahrenwalde, Kreis Prenzlau, 9 ar den Wehrmann, Schmied Heinrich _ Theodor Elfte, geboren am 30. März 1850 zu Steinbach, Kreis Etertsberg (Thiemendorf Eisenberg), 68) den Reservisten, Sattler Theodor Remane, geboren am 6. Januar 1856 zu Zörke, Kreis Birn- m, . °069) den Wehrmann, Binder Johann Hübner, geboren am 29. Juli 1850 zu Weinsfeld, Kreis Neumarkt n sämmtli in Berlin ibren leßten bekannten dauerhaften Wohn- oder Aufenthaltsort gehabt haben, deren jetziger Verbleib aber nicht bekannt ift, werden Diejenigen, wle nach ihrer früheren Truppengattung bezeichnet sind, beschuldigt, als be- u:laubte Reserviften resp. als Wehrmänner der Lande oder Seewehr ohne Erlaubniß ausgewandert zu sein, Diejenigen aber, die als Ersaß-Reservisten bezeichnet sind, werden beschuldigt, als Ersatz-Reser- visten 1, Klasse ausgewandert zu sein, ohne von der

Kaufmann Albert Edmund am 20. März 1859

Anzeize gemacht zu haben, zu 3 Strafgeseßbuches.

alle vorgenannten Personen zum E April 1885, Vormittags 10 Uhr,

Deffentlicher Anzeiger. 7

Inserate nehmen an : die Annoncen-Expeditionen det „ZJuvalidendank“, Rudolf Mosse, Haafenftein & Vogler, G. L. Daube & Co., E. S{hlotte, | Büttner & Winter, sowie alle übrigen größerer

vorstehenden Auswanderung der Militär-Behörde ges Uebertretung des §. 369

Zur Hauptverhandlung über vorstehende Anklage

or das Königliche Amtsgericht I., Abtheilung 94, N Berlin, Alt-Moabit 11/12, Mittelbau Portal I., parterre, Zimmer 10, hierdurch öffentlich vorgeladen - | unter der Warnung, daß bei unentschuldigtem Aus- bleiben sie auf Grund der gemäß des §. 472 der

5, Indaustrielle Etablissements, Fabriken nund Grosshande!.

6, Verschiedene Bekanntmachungen.

7. Literarische Ánzeigen. 8. Theater-Ánzeigen. ! 9, Familien-Nachrichten.

In der Börserc- beilage.

Annoncen - Bureaux. 1 S

ausgestellten Erklärungen über die anzunehmende

Auswanderung werden verurtheilt werden.

Berlin, den 30. Dezember 1 Königliches Amtsgericht T. Abtheilung 94. (L, 8,) Lindenberg.

[69519] Nachstehende Personen :

* 1) Tagelöhnersohn Friedrich Wilhelm Manthey

aus Forbach, Kreis Schroda, zuleßt dort ausf-

haltsam, : /

2) Arbeitersohn Valentin Ciesielski aus Gl19-

borfidorf, zuletzt dort aufhaltsam,

3) Knecht Ludwig Marcinkowski aus Buchwald,

Kreis Schroda, zuleßt in Rodowki, Kreis Schroda,

aufbaltsam, 1

4) Valentin Cyprych aus Babo, zuleßt dort auf-

haltsam, i :

5) Johann Bartylak aus Boguslawki, zuleßt in

Brodowo aufhaltsam, i :

6) Sebastian Frackowiak aus Miaskowo, Kreis

Schroda, zuleßt dort aufhaltsam, e

7) Knecht Stanislaus Strugarek aus Jaszkowo,

zuleßt in Kromslöce, Kreis Schroda aufhaltsam,

8) Knecht Franz Zioty aus Pieczkowo, Kreis

Swroda, zuleßt dort aufbaltsam, E

9) Knecht Valentin Ziety aus Pioczkoroo, Kreis

Sroda, zuletzt dort aufhaltjam, .

10) Chirurg Martin Urbanski aus Chwalfkowo,

Kreis Schroda, zuletzt dort aufhaltsam,

11) Fornaljohn Johann Tomczak aus Kleszczewo,

zuleßt 1n Krerowo, Kreis Schroda, aufhaltsam,

12) Otto Gustav Hoffmann aus Scwerin

a. W., zuleßt in Wronke aufkaltsam,

13) Anton Wiesniewski aus Czarnowo, zuleßt

in Posen wohnhaft,

werden be|chuldigt : E als Wehrpflichtige in der Absicht, sfih dem Eintuitte in den Dienst des stehenden Heercs oder der Flotte zu entziehen, ohne Erlaubniß das Reichegebiet verlassen oder nach erreihtem militärpflihtigen Alter sich außerhalb des Reichsgebietes aufgehalten zu haben.

Vergehen gegen §. 140 Abs. 1 Nr. 1 Straf-

geseßzbuches. E

Dieselben werden auf :

den 23. März 1885, Vormittags 9 Uhr,

gerihts zu Posen zur Hauptverhandlung geladen.

den der Ersatz - Kommission zu Schroda , baum und zu Thorn über die Grunde liegenden Thatsachen klärungen verurtheilt werden.

ausgestellten

belegt worden, was hiermit mit dem

Posen, den 30. Dezember 1884. / Königliche Staatsanwaltschaft.

vor die Il. Strafkammer des Königlichen Land-

Bei unentschuldigtem Ausbleiben werden dieselben auf Grund der nach §. 472 der Strafprozeßordnung von dem Königlicen Landrath als Civil-Vorsihens Birn- der Anklage zu Cr-

Durch Beschluß der IV. Strafkammer des König- lichen Landgerichts hierselbst vom 23. Dezember cr.. ist auf Grund des §. 140 des Strafgeseßbuchs und S. 326 der Strafprozeßordnung das im Deutschen Reiche befindliche Vermögen der Angeklagten mit L eshlag 1 Bemerken öffentlih bekannt gemacht wird, daß Verfügungen über dasselbe der Staatskasse gegenüber nichtig ind.

Subhastationen, Aufgebote, Vor- ladungen u. dergl.

[60536] Oeffentliche Zustellung. Der Heinrich Louis Fischer I. Höhe, vertreten durch Rechtsanwalt Dr.

Wiesbaden,

und dessen i t Old Gravel Lane % appoing, jeßt Behauptungen,

und dessen Chefrau Catharina,

Ostern 1876

gen Tilgung Eigenthumsrecht an den

Objekten vorbehalten worden, der Kaufvertrag gerichtlich beurkundet,

Kaufurkunde vom 27. Oktober fei,

an Heinrich Louis Fis

benachricbtigt worden sei, 3. Juni 1877 an den Kläger zu

ei, daß ferner am 16. T zur Rückzahlung gekündigt worden lung nicht erfolgt,

lichen Landgerichts kammer, vom 4. Januar 1884

Königlichen Amtsgerichte Protokolls Ludwig Mühl das

mobilien zur Hälfte auf die Beklagten, übertragen und die UÜeberschrcibung der

34) den Eigenthümersohn

Ernst Ludwig Voß,

Straß-Prozeß-Ordnung

von den Militärbehörden

zu Homburg v. d. Löb zu

i A U E klagt gegen den Christian Rühl aus Anspa( Ehefrau, zuleßt in London E. No. 89 mit unbe- kfanntem Aufenthalte abwesend, auf Grund der

daß am 13. Oktober 1875 úFacob Henrici 20ter geb. Jaeger, e M Wittwer Ludwig Rühl zu Anspach ihre dase be- legenen Immobilien Nr. 8069, 16064, 8070, 8072, 8073, 8074, 2076, 8079, 8090, 8092 und 2093 des Stocktbu{s von Anspach zu dem je zur Hälfte zu und 1877 ohne Zinsen zahlbaren Kauf- preis von 3857 6, 14 -, für welchen bis zur völli- verkauften verkauft hätten, daß die E "rei den Käufer bewirkt und demjelben

E om. f 1875 ertheilt worden daß sodann Jacob Henrici 20ter die ihm gegen Ludwig Rühl zustehende Kaufpreisrefstforderung von 1341,14 6 mit 59/0 Zinsen vom 3. Juni 1877 und mit allen ihm zustehenden Rechten am 7. Juni 1878 cher I. zu Homburg v. d. Höhe cedirt habe, wovon Ludwig Rühl am 7. Juni 1878 sowie daß Leutarer au leien Tage sid ausdrücklich verpflichtet habe, das eonte Avital von 1341,14 (A nebft Zinsen vom zahlen, und daß demnächst die Beurkundung der geschehenen Cession zu den Anlagen des Stockbus ordaungsmäßig erfolgt Dezember 1882 das Kapital und, da Zah- Klage erhoben anen sel, in Folge deren Ludwig Rühl durch Urtheil des Köntg- iber s zu Wiesbaden, zweite Civil- zur Zahlung von 1341,14 A nebst rückständigen Zinsen vom 3. Juni 1881 an fkostenfällig verurtheilt worden sei, daß end- lich laut eines am 16. Dezember 1875 beit dem zu Usingen aufgenommenen Mgen an den Sh Facob Henrici 20 ter gekauften Jm-

von den Eheleuten Jacob H a Ae Nee älfte dieser mit Eigenthumsvorbehalt zu Gunsten

Dal aalen Forderung behafteten Immobilien

Heinrich Rühl, sämmtlih zu Ans8pacb, an den Im- mobilien Nr. 8069, 16064, 8070, 8972, 8973, 8074, 8076, 8079, 8090, 8092 und 8093 des Stockbucbs von Anépach zustehenden ideellen Hälften dem Kläger betufs Befriedigung für seine Forderuug von 1341,14 M mit 59/9 Zinsen vom 3. Juni 1881 ar und den durch das Prozeßverfahren gegen Ludwig Rühl entstandenen, sowie den durch dieses Verfahren und die Zwangévollstreckung entstehenden Kosten herauszugeben und deren voffentlihe zwangêérwoeite Versteigerung geschehen zu laffen, |

und ladet die Beklagten zur mündlicen Verhand- lung des Rechtsstreits vor die IT. Civilkammer des Köriglichen Landgerichts zu Wiesbaden auf den 14. April 1885, Vormittags 9 Uhr, mit der Aufforderung, einen bei dem gedachten Gerichte zugelassenen Anwroalt zu bestellen. Zum Zwecke der öffentlichen Zustellung wird diefer Auszug der Klage bekannt gemacht. Wiesbaden, den 30. Dezember 1884,

Wurm,

Gerichts\{reiber des Königlichen Landgerichts.

Verkäufe, Verpachtungen, Submis\ssionen 2c.

[60679 Pferde-Verkauf.

“Am Donnerstag, deus. d. Mts., Vormittags

10 Uhr, soll auf dem Kasernenho}e des Garde-

Train-Bataillons, Waldemarstr. Nr. 65, ein über-

zähliges Dienstpferd öffentlich meistbietend verkauf

werden.

* Kommando des Garde-Train-Bataillons.

[60494] Nußzholz- Verkauf. Oberförsterci Staaïfow. Am Montag, den 19, Januar cr., von

Vormittags 104 Uhr ab, follen auf Bahnhof Brand die nachstehenden Nußhölzer aus der König- lien Oberförsterei Staakow öffentlich meistbie- tend versteigert werden: : | a. Schutzbezirk Meierci, Jagen 12A. : 19 Stück Cicven Nutholz mit 1,96 fm. b. Schuytbezirk Brand, Jagen 16B.: 569 Stück Kiefern Nuntholz mit 171,08 fm, 100 Stü Kiefern Stangen T., 100 Stück Kiefern Stangen II., 300 Stück Kiefern Stangen IIIT., 200 Stück Kiefern Stangen 1V._ - c. Schuß bezirk Staakow, Jagen 3 c.: 1 Stück Kiefern Nutzholz mit 1,63 fm. 4 Schutbezirk Freidorf Jagen 24: 604 Stück Kiefern Nuztholz mit 422,04 fm, 30 Stück Kiefern Stangen I., 2 rm Kiefern Nußzscheit I1._ i e, Schutzbezirk Freidorf, Jagen 21: 855 Stück Kiefern Nußzholz mit 348,23 fm. f, Schutbezirk Semmley, Jagen 99: 2 Stück Eichen Nuzßkolz mit 0,35 fm, 149 Stück Kiefern Nußholz mit 53,56 fm. g. Schuybezirk Massow , Jagen 63: 563 Stück Kiefern Nutzholz mit 185,02 fm,

60 Stück Kiefern Stangen I.,

60 Siud Kieser Sun Ein Angeld von 3/10 des Kaufprei]es l 1m Ler- mine zu erlegen. - Staakow bei Brand, den 5. Januar 18835.

Der Königliche Oberförster :

Lorenz,

[60191] l

Holzverkauf. Mittwoh, deu 14. Zanuar 1885, Königl. Oberförsterei Harsefeld, Schußbezirk Rüstje, Totalität Jagen 88, 91, 92, 96, _97, 100, 101, 102,104, 1107 112 u. 114, clwa: ° Q 2 fm Kief. Langnußholz V Kl., 1400 St. Kief. Derbstangen I.— 111. Kl., Nußknüppel: 22 rm Ei, 928 rm Kief., 7 rm Eich. Stammknüppel, 142 rm Kief. Scheit- u Knüppelholz, 1325 rm Kief. Reifer- brennbolz 111. Kl. Anfang Morgeus 10 Uhr, beim Gastw. Klintworth in Sandkrug. 60212] Nuzholzverkauf E N der Königlichen Oberförsterei Salmünster.

Montag, deu 19. Januar 1885, Morgeus 9 Uhr, kommen im Gasthof „zum Löwen zu Sal- münster zum öffentlih meistbietenden Verkaufe :

Eichen : 702 Abscbnitte IL.— V. Kl. mit 1208 fm,

darunter Abschnitte bis über 9 fm haltend,

45 rm Nutßscheit und 263 rm gesundes Scheitholz. E C

Rothbuchen: 291 Abschnitte T.—V. Kl. mit 428 tm.

Weißbuchen: 1 Abshnitt mit 0,34 fm sowie 1 1m Nutsceit und 2 1m Nußknüppel in Rollen von 1 m Linge. : N

Die Herren Förster sind angewiesen, die Hölzer

Wunsch vorzuzeigen. i . agi rede A mit Looseintheilungen können durch das Bureau der Oberförsterei gegen Ecstattung der Schreibkosten bezogen werden.

Salmünster, den 2. Januar 1885.

Der Königliche Oberförster. Knorr.

60504 S f Die l früheren Kadettenhaus - Grundstücke Neue Friedrichstraße 86/90, sollen getrennt oder auch zu- sammen öffentlih an den Meistbietenden tim Wege der Lizitation verkauft werden, zu welhem Zwecke am Mittwoch, den 11. Februar cr., von Vor- mittags 11 Uhr bis Nachmittags 2 Uhr, Ter- min in unserem Geschäftslokale, Michaelkirhplatz Nr. 17, woselbst auch die Verkaufsbedingungen täg li von 9—3 Uhr eingesehen werden fönnen, anbes- raumt ift. Berlin, den 3. Januar 1885. Königliche Garnison-Verwaltung.

auf die Beklagten im Stockbuche von Anspach statt- E Se Cisenbahuwerttiantenee S ee abe, mit dem Antrage: i i: Die im Bereibe des unterzeichneten Detrie

une eien fostenfällig zu verurtheilen, die | amtes angesammelten, auf dem Bahnhofe falbgeorte

ibnen gemein\schaftlich mit Peter Jacob Rühl, Lud- | lagernden alten Oberbau- und Baumaterialien ais :

Swienen, Laschen, Herzstüke, Guß-, Schmelz- und

wig Rühl, Peter Rühl, Wilhelmine Rühl und