wird der Werth der etwa nicht eingelieferten Cou- pons bei der Auszahlung vom Kapitale in Abzug gebracht.
Gleichzeitig wird bekannt gemacht, daß von den in den aher Jahren ausgeloosten Obliga⸗
tionen folgende:
1880 Littr. A. Nr. 2. 18. x B. Nr. 193. 222 und 9 n 6 6 zur Einlösung bisher nicht vorgezeigt sind. Memel, den 25. September 1862. Das Vorsteher⸗Amt der Kaufmannschaft.
1969
Bekanntmachung.
Mit Bezug auf unsere früheren Bekanntmachungen, in welchen wir über den Zustand des von uns verwalteten Fonds, welcher bestimmt ist, dereinst in Zeiten der Noth das Bestehen der hiesigen Klein -Kinder -⸗Bewahr ⸗Anstalten zu sichern und sie bei eintretendem Beduͤrfniß auch in gewöhnlicher Zeit zu unterstützen, dem Publikum Nachricht gegeben haben, bringen wir hierdurch wiederum Fol⸗
gendes zur öffentlichen Kenntniß.
Nach unserer Bekanntmachung vom 28. August 1861 verblieb:
ult. Dezember 1860 ein Bestand von Einahme pro
Pohl'sches Legat pro 1. Oktober 1860 - 61 für 1 Kind als letzte Rate 50 Thlr. angekaufte Dokumente — * für verlooste Doku⸗ mente 25 an Legaten Zinsen .. 25 Zinsen von belegten .
1861.
ö baar Dokumente 64 Thlr. 21 Sgr. — Pf. 17,875 Thlr.
Joo Thlr.
Summa der
Ausgabe pro 1861. für angekaufte Doku— mente. T723 Thlr. 16 Sgr. verlooste Dokumente — » — Verwaltungskosten . 29 * 2 Segal nen 9
Einnahme
700 Thlr.
I64 Thlr. 18 Sgr. 9Pf. Ga Thlr. 9 Sgr. 9 Pf.
6 Pf.
25 Thlr.
Summa der Ausgabe Bestand ult. Dezember 1861
792 Thlr. 19 Sgr. — Pf. 36 Thlr. 20 Sgr. 9 Pf.
25 Thlr. 18,550 Thlr.
Die Dokumente befinden sich im Magistrats⸗Depositorio.
Bei dieser Gelegenheit unterlassen wir nicht, für die im verflossenen Jahre dem unserer Verwal— tung anvertrauten Fonds gewordenen Zuwendungen hierdurch unseren ganz ergebensten Dank öffent⸗ lich auszusprechen und diesen Fonds allen denen, welche die Wichtigkeit der Klein⸗-Kinder⸗Bewahr-⸗An—= stalten anerkennen, recht dringend zur geneigten Berücksichtigung zu empfehlen. ö. .
Die unterzeichneten Mitglieder der Kommission sind gern bereit, selbst die kleinste Gabe zu dem erwähnten Zweck dankbar anzunehmen und an ihre Bestimmung zu befördern.
Berlin, den 24. Oktober 1862.
Kommission zur Verwaltung des Centralfonds für die hiesigen Klein -Kinder-Bewahr ⸗Anstalten
Harnecker, Stadtrath, Linienstr. 126, Vorsitzender.
H. Lietzmann, Burgstr. 15.
Adolph Loesche, Banquier, Dranienburgerstr. 20. Lüddicke, Burger · Deput. Friedrichsstr. 14. Tischmann, Rentier, Wilhelmsstr. 28.
Schellingsstr. 6.
F. Dahms, Prediger, Kurzestr. 2.
Dr. Marggraff, Stadtverordneter, Sophienstr. 12. Jürst, Kommerzienrath, Chausseestr. 48. Knack, Pastor,
Wilhelmsstraße 29. Lisco, Prediger,
J Kronenstr. 76.
G. Schlawitz, Verlags ⸗Buchhdlr, O. Kunz, Stadtverord.
Gartenstr. 23.
Berner, Stadtrath,
U. den Linden 51. Kra f f t Stadtverordneter, Chausseestr. 83. A. Stephan, Schlesischestr. 31.
Dr. Bachmann, Consistorialrath, Dranienstr. 132. Eysenhardt, Prediger,
ö Poststr. 15.
E. Praetorius, Commerzienrath,
Königsstr. 69.
Schaner, Kaufmann und Rendant des Centralfonds, Spandauerbrücke 2.
199
Disconto-Gesellschaft in Berlin.
Resultate der Abrechnung des Spezial⸗Geschäftes vom 30. September 1862 (Nach Art. 27 des Statuts vom 9. Januar 1856.) ö
ö der Mittetheiligten 2 Statutmäßige Kreditgewährung .....
7
Deren Verhäliniß zu den Geschäfts-Antheilen
5 j Mit da 9 56 j 7 j Gewöhnliche Dividende von Thlr. 1,177,940 Baareinlage für ein Quar—
1 72828 ᷣ
l⸗Geschäft ezial⸗Reserve
Erworbene Provision im Spez Davon der dritte Theil zur S Vorgekommene Schäden ..... .. Dessen Betrag.... ; Spezial⸗Reserve. Uebertrag vom 30. Juni 1862. Dieselbe beträgt mithin jetz...
Berlin, den 30. September 1862.
D
Directi
ammtbetrag der Geschaäͤfts⸗Antheile. . . .
n der Disconto⸗G
TD 11, 70 405 5. M . 538 5056
11 M0512 245335 8244 16
1
46. 2 2
596
S0, 774
ellschaft.
i963 Neu⸗Schottland.
Die diesjährige ordentliche General -⸗-Versamm⸗ lung der Actionaire des Berg und Hütten- Actien
Vereins Neu-Schottland wird am 22. Novem- ber d. J. Vormittags 11 Uhr, im Gast— hofe zum Römischen Kaiser in Dortmund statt— finden.
. ; Zur Berathung kommen folgende G inde 1) Verwaltungsbericht über . ö
1861 —62. Vorlage der Bilanz pro 1861 — 62 und E stattung des Berichts der Herren Rechnu ꝛ Revisoren. 2 Beschluß über Verwendung des erzielten G winnes. ⸗ . Wahl dreier raths. Wahl dreier Rechnungs -Revisoren für das Geschäftsjahr 1862 — 63. Ausloosung von Obligationen der hypotheka rischen Anlehen des Vereins. w Abänderung des Vereins-Statuts auf Grund der Vorlagen der in der General Virsamm lung vom 30. November v. J. erwählten Kommission. Die Herren Actionaire werden ersucht, gemäß §. 25 der Statuten ihre Legitimation zur Theil. nahme an der General⸗Versammlung am 20ssen und 21. November dem im Gasthofe zum Römischen Kaiser anwesenden, hierzu beauftragten Beamten des Vereins nachzuweisen und die Ein— trittskarten und Stimmzettel in Empfang zu nehmen. . Dortmund, den 18. Oktober 1862. Der Verwaltungsrath von Neu- Schottland Berg— und Hütten ⸗-Actien Verein. ᷣ von Born. Druckenmüller.
Mitglieder des Verwaltungs.
198
Congr s de
association internationale
pour le progrès des seiences sociales. Coneours résultant de la session de 1862 et prix qui seront décern és à la session de 1863.
Lartiele 3 des statuts porte: „L'assoeciation »poursuit son but, par des prix aceordes dau moyen de Coneours aux oeuvres les plus »propres à seconder Faction des assemblées an- nuelles.
M. Dutröne, Conseiller honoraire à la eour d'appel d' Amiens, a satisfait à eette disposition des statuts, en offrant trois médailles d'or; une ö la section de législation, une à la section d'économie politique et la troisième à la section d'eéducation.
Les trois genres de Soeiétés dont la création est provoquée par ces prix, mn'ayant qu'un delai de 10 mois pour s'organiser, hous croyons qu'en attendant j. programme desinitif, il est urgent de faire connaftre le texte des trois propositions de médailles acceptées par le Congrès; au moyen de eette publication, nous metkons, des aujourdhui, en Belgique et 'étranger, les eoneurrents à méme d' employer utilement un temps, d'autant plus préeieux, qu'il est plus court. 1er Concours. — Sociétés de Sobriété.
C'est à la section de legislation, après la dis- cussion d'un mémoire tres - remarquable dü à M. Buse, avocat à Gand, sur les améliorations à introduire dans la lsgislation concernant les alienés, que M. le Consciller Dutröne a fait la proposition de sa première médaille d'or, pro— position acclamée dans la séance générale de clöture et dont voiei le texte:
On a demandèé, par d'excellentes communi- cations, que la législation concernant les aliẽ- nes, soit amcliorée sous plusieurs rapports,
Je commenee par m'assoeier W ces justes réelamations. Puis, je demanderai la permission de proposer un moyen préventif contre la kolie meme.
»Cette eruelle maladie provient, le plus son- vent, soit de kivrognerie directement, soit de la débauche ou de Ja mis: re qu'elle engendre. Prévenir Fivrognerie, c'est donc prévenir de nombreux eas Galiénation mentale; — et n'ou—- blions pas que c'est prévenir aussi une inßinite de délits et de erimes, comme ceux qui sont constatés chaque jour par les tribunaux con- rectionnels, les cours d'assises et les conseils de guerre.
»Dans ce quadruple but, je viens mettre à la disposition de Association internationale, uns médaille d'or (valeur 200 fr.), pour étre, à la prochaine session du Congrès, décernée à l̃a Société de Sobristé, qui, d'ici à cette époque, se sera organisée sur les bases et avec le programme daction, qui seront reconnüs comme devant être les plus efficaces.
Les Sociètès qui voudront eoncourir, adres- seront, un mois avant la réunion de la pro- „haine session, au comité permanent. de FAsso- cjation, A Bruxelles, un exemplaire de leurs Hatuts et règlement, ainsi qu'un compte rendu le leurs travaux.
Pruxelles, 22 septembre 1862.
(Sign) Dutròne, Conseiller honoraire.
2e Cone ours. — Société s et Jardins
d acclimatation.
La section d'éeonomie politigue s' oceupant le la riehesse publique sous toutes les formes, a recu la seconde proposition faite en ces termes;
Le développement de la richesse agricole oeeupe un rang si clevs dans la seienee Sociale, que j'ai eru de voir attirer Jattention du Con- gres sur un nouveau genre d'association appelèe augmenter considérablement cette riechesse: — richesse qui, outre qu'elle fournit à tous nos premiers besoins matẽriels, a l'avantage moral Je conserver, à la vie régenératriee des cam- pagnes, les jeunes populations trop entrainées hes Je gouffre asphyxiant des villes, ou elles vont s'étéindre misérablement.
„Les nouvelles Soeiétés dont je veux parler zont les Sociétés d'acelimatation. — Lextension des riehesses agrieoles qu'elles ont pour but. porte sur le règne animal et le règne egétal dans leurs espäees prineipales.
IL Y aura tantöt eent ans, Buffon disait:
Lhomme ne sait pas assez ce que 1 la nature, et ee qu'il peut sur elle: Au ien de a rechercher dans ce qu'il ne connait pas, il zime mieux en abuser dans ee qu'il en con— naĩt.
»Duis, à eet enseignement eritique, il fait zuecéder un fécond enseignement pratique, en consacrant à Fétude de toutes les produe- tions de la nature, le Museum d His- toire Naturelle, o, plus tard, Etienne Geoffroy Saint- Hilaire eréa la mèénagerie, pre- misre Fierre de cet édifiee que, 60 ans apres, son digne fils achevait par la So ei et e gzeeltmatation, et son Jardin du Bois de Boulogne.
„Notre ambition, 2 dit M. Drouyn de Lhuys, en séance solennelle de la Societè daceli- „matation, est d'ajouter, dans le règne animal et dans le règne vegeétal, des nou- veautés utiles à nos aneiennes richesses.
Distinguons parmi les choses appro-— priées à nos pesoins . plus vulgaires, à notre Alimentation, A notre vètement, celles que pro- duit spontanément notre sol, et eelles qui proviennent de Lacclimatation: nous que, réduits aux premikres, nous péririons en quelques jours 3. misére et de aim. — Les animaux qui eomposent le grand cheptel que Fhomme a pour ainsi dire attach
a lLexploitation de son domaine, sont presque tous Griginaires de Frient, et particulièrement de PAsièe. — Le blè, lui -méme, n'est point un produit naturel de nos contrées. — Le gland du ehéne, quelques fruits après, quelques „egumes insipides, peuvent seuls prétendre à Tindigénat. — L homme, en Europe, ne vivrait „done que du produit de la chasse, et la po- pulation maurait jamais pu s' développer, si elle meüt emprunté à d'autres régions un large supplément d'animaux et de plantes.
„Haprès M. Alph. de Candollle, sur 137 espéces les plus généralement eultivées, 33 sont orlginaires de ILAsie septentrionale et oc eiden- tale, 1 de Afrique septentrionale; 3 de
Vel'rohns
Afrique intertropicale; 40 de Asie méridio-w
nale et de Archipel asiatique; 11 de Tanecien monde, mais douteuses quant à la région; de lAmẽèrique septentrionale . sauf les An- tilles; 20 de FAmérique méridionale, de Pa- nama et des Antilles; 5 de l'Amèrique, avec doute sur la région; 1 d'origine absolument inconnue; 35 mn, appartiennent à 1'(Eu- rope.
Fermettez- moi de vous présenter une très- petite partie du catalogue . végétaux utiles ou d'ornement que la France parait avoir em- pruntès aux regions étrangères. — Parmi les ceréales, le FroGment et le Sarrasin viennent de Asie; le Seigle, de la Sibérie; le Ri de PEthiopie; le Mais de lAmérique méri- dionale. — Parmi les lögumes, le Cone m- bre, de FEspagne; l'Artichaut, de l Sicile et de n le Cerfeuil, de FItalie;
1881
le Cresson, de Crète; la Laitue, de Coos; „le Chou blane, du Nord; le Chou vert, le Chou rouge, l'0Oignon et le Fersił, de 1Egypte; le Choufleur, de Chypre; I1'Epinar d, de Asie Mineure; I AsEerge, del Asie; la Gitr ouille, d Astracan; E cha- lote, d Ascalon, le Haric ot, de Inde; lle Raifort, de la Chine; le Melon, de „Frient et de Afrique; Amèérique nous a „fourni la FPomme de terre et le Topi- nambour.
Parmi les fruits, nous devons 1'Aveline, la Grenade, la Noix, le Coing et le Raisin R Asie; l' Abrieot à Arménie, le (Citr on à la Médie; la Pé che à la Perse; 1 Orange à Inde; la Figue à la Mesopo- tamie; la Noisette et la Cerise au Pont; la Chataigne à la Lxdie; la Erune, à la »Syrie; les Amandes à la Mauritanie; et les Olives à la Grèce. — Parmi les plantes qui „servent à divers usages, eitons encore le Tas b ae, du Nouveau-Monde; I' Anise d' Egypte „le Eenouil, des Canaries; ler- Rie in, de Finde; le Laurier, de la Créte; le Sureau de la Perse; ete.
»I serait superflu de suivre plus longtemps le savant Président de la Société d'aceli- matation, dans ses intéressantes ecitations, et kon peut dire, à bon droit, que toutes ees ae— climatations données par le passé sont une ga- rantie de eelles que Henle peut aceorder aux travaux de Soeiétéès spéciales bien organisées.
»De pareilles Société s, en multipliant les richesses végétales et animales néeessaires 2 nos premiers besoins, augmentent le bien tre des popu lations et leur permettent de se dé ve- lopper plus nombreuses, sur un esbace deter- mine: avantage 2 dans notre Europe si (troite. Obtenir de tels résultats, c'est pour ainsi dire ajouter à la eréation et agrandir le monge. ;
»Bésirant done que les Soeiétés et les Jardins d'acelimatation se multiplient, et se perfectionnent dans leur organisation, je m'empresse de mettre 2 la disposition de As- sociatlon internationale une médaille d'or (va- leur 200 fr.) pour étre, à la prochaine ses- sion du eongrès, déeernée à la So ci été d ac- elimatation qui, d'iei à cette époque, se sera organisée sur les bases et avec le pro gramme d'action qui seront reconnus comme devant étre les plus efficac es.
Les Soeciétès qui voudeont eonegurir, adres- seront un mois avant la réunion de la prochaine session, au comité de Association internatio- nale. 2 Bruxelles, un exemplaire de leurs statuts et règlement, ainsi qu'un compte ren— du de leurs travaux.
Bruxelles, 24 septembre 1862.
(Sign) Dutröne, Déléguè de la Soeictè d'aeelimatation (Paris).
3e Coneours. — Soeiét és protectriees des animauæz.
Crest A la section d'éducation, dans les at- tributions de laquelle se trouvent I' élé vation du niveau social, l'adoucissement des moeurs et l'augmentation de la pbuis- sance productive, que la troisième médaille d'or a été offerte par les lignes suivantes:
Tout ee qui peut contribuer à adoucir les moeurs de EThomme et à développer en lui le sentiment de la justice, élöve 6évidemment notre niveau social. — Ce double caractère existe dans les Société s protectrices des ani- mauæx. — Elles ont done droit nos préoceu- dations.
„Ges Sociétèés, en eombattant ehez homme les habitudes de mauvais traitements envers les gtres inkérieurs, défendent la cause de huma- nit meme. Car si (chomme n'est point reprimé dans sa eruauté pour les animaux, il ẽtendra ses habitudes cruelles sur ses semblables.
„D'un autre estè, les mauvais traitements exercts sur animal, qui nous sert, eonstituent un acte d'injustice, — et Linjustice, envers un Etre. souffrant, conduit à linjustiee envers kbhomme. Le coeur est done endurei et l'esprit kanssé par le défaut, par le viee que les So- ciet s protectriees com hattent.
La protection exereée envers les animaux, gutre le bien moral que je viens de . présente de grands avantages materiels. L agi culture, faisant la force et la richesse des Etats, e bätall faisant la force et la riehesse de lagri culture, toute nation est intéressée à ee que les
animaux domestiques soient bien traitès, et à ee que Fon n'exige d'eux qu'un service en rapport avec leur foree, avec leurs aptitudes; paree que, dans ees eonditions, ils donnent plus et de meilleurs produits, ils travaillent plus effieagcement, et vivent plus longtemps: tandis que la négligence, la pareimonie, la brutalitè, non-seulement diminuent leur rendement, leur valeur et abrégent leur vie, mais amènent sou- vent des eépizobties, ruine de toute une contrée.
Les Soeiétés protectrices, défendant ainsi Lintèrét moral et intérèét matériel de humanitè, contribuent puissamment, on le voit, au progrẽès social. Et il importe qu'elles se multiplient, il importe que Lintensits de leur action sSac- croisse.
En France, le premier germe de ce pro- grès abparut en ban X. de la République. On avait posé pour sujet dun prix à décerner en vendémiairé an XII cette question:
Jusqu' quel point les traitements barbares exereés sur les animaux, intéressent-ils la mo- rale publique, et eonviendrait-ilh de faire des lois d cet égard?«
„»A Londres, en 1809, la méme idée trou- vait, dans lord Erskine, un promoteur dévous; puis Riehard Martin, en 1822, attachait son nom au premier acte anglais, pour la répression de la cruautè envers les animaux; et, en 1824, il fondait la première Société qui ait existè pour la poursuite de ee noble hut. La Soeicts de Londres, patronée par la reine ainsi que par la haute aristocratie, et enrichie par des legs nombreux, est maintenant une pulssante insti- tution.
A Paris, en 1839, sous les auspices de MM. le comte de Laborde et le due de la Roche- foucauld Liancourt, un essai de société fut tentèé, mais sans résultat.
A Munich, en 1841, sous le patronage du keu prince Edouard, frère de la feue reine Thé- reèse et auquel a suceédé S. A. R, le prinee Adalbert, frère du roi, une Soeiétèé, devenue celèbre, se forma; et, par le dévouement hors ligne de M. le Conseiller Perner, elle eontribue sans reläche à en faire organiser de semblables dans les Etats voisins; si . ne les Socièétès de dix chuit villes, appartenant à tous les pays de Allemagne, étaient représentées au Con-
pes spéejial qui vient de se réunir à Ham- bourg. (31 juillet 1862).
En 1812, devant la Sociëtè d'agriculture de Melun. M. le vicomte de Valmer, et, à Lecole vétérinaire de Lyon, M. le professeur Magne, — émettaient le voen que des Sociétés protesetr ces fussent organisées en France. En 18413, M. Dumont de Monteux réelamait auprès de ad- ministration une loi pour l12 protection de animaux, et M. Gabriel Delessert, prèéfet de poliee, défendait aux cochers de frapper les „chevaux avec le manche de leur fouet, ou „les maltraiter, de quelque manière que ce soit n 1844, Camille Paganel, secrétaire general du ministère de l'agrieulture, manifestait offi- ciellement les mèmes sentiments.
En 1814, MM. le vicomte Parisot de Cassel fondaient la Paris.
„Cette Socict, — dont Faction ineessante encouragea Linitiative parlementaire dun de ses membres, M. le general de Grammont z teur, en 1850, de la loi qui porte vient, après avoir subi les épre d Etat. d'être reconnue comme lité publique.
Afin d'aceelèrer la formation Soei6tes, et d'eétendre ee nouveau pr la seience sociale je viens mettre tion de PAssoeiation intèrnatfionale une d'or (valeur 200 fr.); pour Etre, chaine Session du. Congrès, deécernee à cietẽ protee tries des animaux,
de Valmer et Societ e
C ILCLT
8
eette époquèe, se sera organtisee sur et avee le prozramme d action ut connus comme devant etre les plers eke aees.
„Les Soeiétès qui voudront eoneonrir a4
seront ; yr de la Le 1 sSsoOciatltonũ l
Se Ton
un Mois Avant la chaine session, au eomite de
fi ⸗ — 1 53 8 , nakonale, à Bruxelles un edemphiire dt statuts et règlement, ains; de leurs travaux.
⸗ Rwe 24 septembre
2 nas Bruxelles,