1884 / 288 p. 3 (Deutscher Reichsanzeiger, Sat, 06 Dec 1884 18:00:01 GMT) scan diff

Seitungèastimuen.

Der „Reichsbote“ schreibt über die generelle wirth— schaftliche Krisis und das Schutzzollsystem: r 9.

In England und Frankreich nehmen die wirthschaftli = stãnde eine immer größer werdende Ausdehnung i . beiden Ländern die politische Aufmerksam keit mit konstitutionellen Fragen und kolonialen Unternehmungen beschäftigt erscheint, setzt der unerbitt liche Agitator, die materiellen Noth, seine unterminirende Arbeit fort, um durch Abänderung des herrschenden Systems Hülfe und Schutz jzu finden. Seitdem Sir Robert Peel in der nterhaut— sitzung vom 5. Februar 1845s den Freihandel proklamirte, hat sich in der wirthschaftlichen Weltlage eine Periode von grundstũürzenden Um⸗ wälzungen vollzogen. Damals waren die Argumente jener denkwürdigen Rede vollberecktigt. Durch das Protektionssystem war die englische

Erhöhung der Einfuhrzölle alle Aussi z ĩ iste sicht durchzugehen. Die „Socist

8 agriculteurs de Franee- Candi ibschafssrath) verftãrkt 6 2. egirte aller landwirthschaftlichen Vereine, hat ihre Desiderata w dem betreff enden parlamentarischen Ausschuß zugestellt. 3 Erfüllung beziehungsweise Ablehnung derselben dürften nicht 9 6 6 er 9 sozialer, sondern auch in politischer

en i ü . em Einfluß auf die zukünftige Entwickelung Der „Schwäbische Merkur“ sagt ü

; . isch über de tee,, 18. Reichstage: an 3 ke Anfange des neuen Reichstages sind wenig erfreulich. ĩ

dem iãtenantrag. der von seinen Urhebern als eine 1 gegen die Reichsregierung gemeint war, begann man. Dazwischen n,. man die Dampfer vorlage, weil sie der Kolonialpolitik des Kanzlers dienen soll, und in der Kommission strich man mit Vor—

Berlin, 6. Dezember 1884.

Die Kunstanstalt von Wezel & Rauman ip z re,, publizirte bereits im vorigen Jahre unter entf ha i. . ite Blum en studien von Auguste Reichelt‘, 3 Hefte . 8 Schönsten gehören, was wir in diesem Genre gefehen 39 3

die elbe hat jetzt, ermuthigt durch den großen Beifall den si 3. diesen Blumenstudien errungen, eine weitere Reihe von 15 22 2 den Kunstmarkt gebracht, welche im Verlage 4 g. Baldamus in Leipzig erschienen sind . . große Blumenstudien ) von Augufte Reichelt (4 Blatt or *

5 zu 40 em, Preis 20 4, einzelne Blätter 5 MÆ; 3 5 derselben Künstlerin (2 Lieferungen mit je 4 Blättern eee. 2 zu 39 em, Preis der Lieferung 10 4, einzelne Blätter je 3, 75 2. ( Aus der Blumenwelt', Studien von derselben (2 Lieferun : mit je 4 Blättern, Größe und Preise wie bei der vorigen Gren

Mn 288.

zum

- Erste Beilage Deutschen Reichs⸗Anzeiger und Königlich Preußischen Staats⸗Anzeiger.

1884.

den 6. Dezember

Aichtamtliches. Protokolle

ur Zeit in donferenz, nebst Anlagen.

qui, jusqu'à un certain point, pourraient tenir lien d'exposé des motifs et de rapport. tacoles, formeraient comme ; ö J Tei wositions adoptèes. . mn] Berlin tagenden Afrikanischen ir, w Ce n'est pont qui se tient à la disposition de la Haute .

Ss 9 em k enz

Ges explications, transcrites dans les pro- le commentaire succinet, mais officiel, La Commission a confié cette täche au

donnern pour fournir verbalement, sur les articles du pro- 3 are qu'iils se prèsenteront dans la discussion, les „Monents desirables, soit pour remettre à la Conférence un

cernant l'sventualitè de la construction d'un chemin de fer reliant le Stanley - Pool à l0Ocsan.“)

Le Brèsident fait remarquer que l'on pourrait adopter dès

à présent article V dans sa forme actuelle, qui est acceptée par tons les Membres de la Conférence, sauf à eraminer ultérieure-

ment la proposition de M. Sanford. article V sous cette rèserve et met en délibération Particle VI.

II constate adoption de

Le Comte de Launay fait connaitre que les mots „les

missionnaires“ ont été inscrits dans le paragraphe 2 de l'ar- ticle VI à la suite de la demande quil en a faite à la Commis- sion. Il avait d'abord deésirs que l'on éerivit: „Les mission- naires ehrétiens“, mais après avoir pris part à la derniere séance de la Commission, il a se convaincre que, pour assurer l⸗unanimits des voix à sa proposition, il fallait ssabstenir d'une désignation plus précise à l'gard des missionnaires. Une pareille désignation n'était pas d'ailleurs strictement requise, du moment ou il éẽtait constaté que, dans les contrses Africaines dont soceupe la Conférence, il n'existe, à peu d'exceptions près, que des mis- sionnaires de confession chrétienne. S. E. tiendrait à ce que ses observations 6“ cet 6égard fussent consignées au protocole. Le Comte de Launay serast d'ailleurs heureux qu'au 2e alina de ar- ticle VI, les missionaires regussent la designation qui leur ap-

0, „eie d'ensemble, propre à suppléer à ces explications, et qui serait annex6e au protocole. Le President eroit que l'on pourrait adopter purement et simplement les articles, quand ladhésion de LAssemblée serait donne sans demande de commentaires, et, au contraire, recourir à Lobligeance du Baron Lambermont lorsque des commentaires, seraient réclamés. Dans tous les cas, le Plènipotentiaire Belge vondrait bien remettre au Secretariat Lensemble de l'exposs qu'il a préparé, et ce document serait annex au protocole pour rè- pondre è Lobjet que la Commission a en en vue, (Annexe II.) la Haute Assemblsée appronve la procédure suggerée par son Président. La parole est ensuite donnse à Sir Edward Malet. LAmbassadéur 4'Angleterre fait observer que des notions géographiques précises manquent relativement à la position le Sette Gamma, dèsign6e comme marquant la limite septentrionale de ja zone de la liberts commerciale, du eöté de Atlantique. Est-ce ja rivière de Sette qui est acceptée comme frontière de cette zone par le Reprèsentant de la Erance? LS Baron de Gour cel dit qu'en effet, il lui a été impossible de fournir à la Commission des indications complètes relativement la position de Sette- Camma. Il a fait demander au Ministre de ja Marine, à Paris, des informations à se sujet; mais, en le Jonkheer van der Hoeven. attendant qu'il les ait recues, il ne peut qu'adheérer à la tenenr Pour le P ortugal 34 . . du projet rédigs par le Baron Lambermont et présenté an nom le Marquis de Penatiel, . de Serpa Pimentel. de la Commissisn. Sily a une rivière débonchant à Sette- Camma i puisse servir de frontière, elle marquera la limite; s'il n'y en

pour la Russie qui] le Comte Kabnist. a pas, on prendrs pour frontiere le parallele de la position meème

pour 14 8Suèùde et la Nor wege de Sette - CQamma. Sir Edward Malet dit que, dans ess conditions, et sous la

je Genéral Baron de Bildt.

pour 1a Turdnie reserve dune reéctification ultérieure si elle devient possible, il

Said Pacha. adhère, de son eöté, à la rédaction proposée. La séance est ounverte à M Kasson räppelle Pamendement qu'il a présents et qui Comte de Hatæfeldt. figure en note au bas du projet distribus au nom de la Commission. Le resident rappelle dne la gonférence a charge une Le Gomte de Hatzfeldt demande si queldu'un a des ob- Commission de préhbarer la redaction dèfinitive du Projet de Décla- jections à faire valoir contre adoption de cet amendement. xation relatif à la libertè commerciale. Ia Commission a adohtè, Sir Eäward Malet prie M. Kasson de donner quelques lepnis lors, à k'unanimitè, un texte qui a imprims et distrißus 6claircissements sur objet de son amendement. . ann Plènipotentiaires. Les Membres de la Conférence en ont done M. Kasson répond que le texte du paragraphe final de nne eonnaissance parfaite. Le Président exprime la pensée que, article I ne vise expresssment que la liberté de transit, tandis pour activer la marche des travaux, il peut se dispenser d'en mndement marque comme but aux efforts des Puissances la proclamation de la libertè commerciale pleine et entière. Ls President constate ensuite adoption de amendement dont il s'agit, Il demande si aucun des Membres de la Conférence na diobservations à présenter relativement à article II. Said Pacha revient sur Lartiele J et dit qu'il ma pas encore reeu d'instructions relativement la délimitation à Est du bassin du Congo. Le Comte de Hatzfeldt lui répond que, comme il a été convenu, son vote a étè röservs et que le protocole restera ouvert pour lui en attendant qu'il ait reęun ses instructions. Lartiele Il, mis alors aux voir, est adopté sans observations, ainsi que ar- ticle III. Le Président met ensuite en discussion l'article IV. Aces sujet, le Comte de Launay se réfère aux considèérations qu'il a déveioppées devant la Commission. Il ne, lui semble pas qu'il convienne, au point de vue de l'intèrét genséral, douvrir la perspective qu'une des conditions essentielles de la liberté de commerce en Afrique puisse être, un jour, quelque éloigné qu'il soit, mise en doute. Il s'agirait, au contraire, d'en favoriser la 1 continnitè, et möme extension dans toutes les parties de ce Con-

Protocole No. 4. 4 irg.

liebe ebenfalls gerade an solchen Ansätzen wel i ; 1a ; e ,, Zwecke zu fördern e enn sind ö. ; ö 2 nw oc fand nun die zweite selbständige Aktion . Reichstages statt, die Berathung des ultramontanen An— trages auf Beseitigung des Ausweisungsgesetzes. Man hätte sie eben⸗ ont an tell des Diätenantrages als erste Aktion vornehmen nen, Die eine Woche macht es vollends nicht aus: der Antrag Windthorst kemmt so wie so unverhältnißmäßig früh. Nicht nur . Bundes rathe gegenüber, der kaum vor ein paar Wochen den ö 2. Antrag, wie er ganz am Schlusse der letzten Session ie 3. Berathung passirt hatte, abgelehnt hat, sondern auch gegenüber dem Reichstag. Das Centrum treibt recht

Industrie erstarkt, und der Zeitpunkt war gekommen, wo die ö säͤtze des Freihandels für England sich Bahn brechen 1 „Wir haben durch die Macht unserer Industrie die Oberhand gewonnen über alle Nationen des Erdballes; wir haben Eisen und Kehle billig zur Hand und unserer unvergleichlichen Produktionskraft ng . r, ,, können. Wir brauchen aber Absatzwege ir um se ĩ ü ĩ Frei dk ĩ Produkte und Getreide, für unsere Arbeiten; ergo Frei- So lautete die von Robert Peel ausgegebene Parol i doktrinären Liberalismus, der gerade seit 6 ,,,, . Europa via Paris und Brüssel seinen Einzug gehalten hatte n, wurde. Während man aber auf dem Festlande und in , . . e . bald erkannte und theilweise eilig die Schulden ein, die feine Freund ; W . 1. ö ö . ngland erschüttert worden und dürfte kampf bei ihm gemacht haben. Er konnte, wie es fei . . k ö , en iu. betrachten sein. Die Unterhaus⸗ kaum erwarten, an dem wieder wie zum letzten Mal . en * nn,, . 6 3d giebt ein überraschendes Bild von d. J sast der ganze Reichstag ö i ,, . Sele knn . 9 . ta und zugleich eine Darstellung der wirth« für den Bundesrath hat der Reichskanzler den Ant g g en 5 . 96. e, . Site war beantragt worden, genannt, er ist es noch vielmehr für den Reichsta 1 . fl ö , e e, , . Azress⸗ das Bedauern des zu sich wiederholenden Zeiten die Mehrheit des he n wd . . kö. ann gn, ö. Ihrer Majestät Regierung die während der Bundesrath in sebständiger Haltung , . en at, k . ett . . ö ier dre gt i i., 3 etwas bessere, wenn auch noch ö e, , ö f b eine in gende Wahlausfall erprobt, die Minderheit einigermaßen verstärkt. ; 6 ö. Noth und kad . des , daß . . 25. Juni waren ee 34 gegen 2äb, gestern doch 3 . 9 3b Sttänßgzen, welche, gus iets KWielen⸗ . Zunehmen begriffen sei. und bag man hun r fftin ten 31 , . 1 ,, er, re, ui wg , n de, nn, e. wirthschaftlichen Krisis entgegeneile. ie Äberalen ; : 3 am 12. Januar 1882, waren es noch 115 es ei. eöreht; in der. Kunft r Fabrikbezirke und On ffn r eff in . ö . ö. i n 2 Ja;, Damalg stimmten mit. den Ralle intl. ten ln k . 2 ö , , nservativen k noch die meisten Sezessionisten und selbst ein paar Verwandten gleich Vollendetes zu bieten. Ein vorzüglicher n. Periodische Krisen sind selbst nach den Lehrbüchern der manchester⸗ treten w 4 . dann aber die berühmte „Fusion! einge— druck dient ihnen, dazu als sorgsamster Interpret: in 8 bis lichen Volkswirthschaft in der Industrie unvermeidlich. Die jetzi M zar, da galt es für „deutsch ⸗freisinnig?', wie Ein Wr ffarbgh, angeführt, bewelsen, bis Tafeln, zu weicher stꝗaunens— Krisis hat aber in England und Frankreich einen chronischen . enn . r, . . . e ö w eh hl ener . ö. ,, angenommen. Sie ist nicht durch etwaige Fluktuationen a , , Nein, die Nationalliberalen und wenige Sela n e, nnen tit ien mithtß al l ; J . . ,, , auf dem onservatioe und Freikonservative; und endlich am 25. un Zimmerschmuck unter Glas und Rahmen 3. ur a nen, . . . g,. , . , ö . y. sich die schon erwähnte, bis jetzt tisches sich vorzüglich eignen und als , J ett; zu , wieder verstaͤrkte Minderheit von 34 gegen 246 K . e. ö ge der Verschiebungen der internatio⸗ . . k gegen das der Antrag sich richtet, . er nan. sich Der. Gedgnkenleser. Mr, Stuart Cumberland, welcher J 6 nsggt, men,. , Bedeutung mehr. Dazu bestimmt, Geist ö. n ,, nach England einen Taa in Berlin aufhält , . 5 ich in ungesetzlicher Weise Kirchenämter . einem Versprechen gemäß, am Donnerstag, den 11. d. Mts. ' Cerbneh the , wum Hohle Gz är Böhr rßt e, ann, e . und ausüben, wirkfam entgegenzutreten, ist nur In Tor Philharmonie eine Soirée veranstalten. Die Einnahmen JJ n n r,. ., a. es Oer fte Kulturkampfs gehandhabt worden, . sind von ihm zu gleiche Theilen der ln erh nn, J , nn, n, ö.. 1. . n . pfer desselben, soweit sie sich nicht asse des Invalidendank und der hiesigen Armenverwäl J, n, eh, ; (. ö en Welt verloren haben und keine Rückkehr begehren, sind tu n g ugesichert worden. Billet ⸗Bestellungen nimmt schon setzt d J Fan n , . . I. igt. Es handelt sich also bei dem Antrag Seitens der Ultra— Inyaliden dank, Markgrafenstraße HI a, entgegen. Die P . 9 MR und Fleisch ö . n nn allein darum, aufreizende Reden halten zu können platz sind folgende: Mittelloge 5 MS, J. Rang Loge 6 , en rotz gegenüber der Regierung, sowis n bien Hach ö , 1 Rang und II. Parquet 2 us Entrõe un 8 jumanen Sache ist ei s ö che ist eine besonders rege Theilnahme

sammlung); „Farrengruppen“ von derselben (4 Blä ? 9 em, Preis 4 0 einzelne Blatter 1,50. ½); . ,, n Studien von Bertha Maguire (2 Lieferungen mit je 6 Viale ,. 35 zu 2b em, Prei der Lieferung 660, des Blaits! 5. 0 n J a lvorlagen von. Marie von Beckendorff (2 Lieferungen mit , , , Format 33 zu 24 em, Preis der Lieferung 6 6. i. I. 2,210 ½); „Blumenstudien‘, von Pauline von Doemmin '3 Lieferungen mit je 6 Blättern, Format 390 zu 29 em, Preis * Lieferung 74659 „S, des einzelnen Blatts 1,80 M); Aus Bert . . Studien von Maria Endell (2 Lieferungen mit je n: ö tern, Format 35 zu 26 em, Preis der Lieferung 6 S0, des ein⸗ ö . l. v0 M); Blumenstudien ', von Friederike Vogel 6 k zu 26 em, Preis 6 „6, das einzelne Blatt 1.56 3 h . en aus sämmtlichen Kollektionen Probeblätter vor Augen gehabt, können uns aber schwer entscheiden, welcher von den aufge— führten Publikationen wir den Vorrang vor der andern geben al n. ö. vorzüglich und mit so liebevoller Naturbeobachtung in den zariesten . inzelheiten sind die Tafeln gemalt. Die großen schönen Rosen aus de erühmten Geschlechtern der Marschall Niel' und . Gloire de Dijo ? erregen unsere Bewunderung über die Pracht der Farben, aber ꝰnt minder anziehend in ihrer lieblichen Bescheidenheit erscheinen

Séance du 1er décembre 1884.

Etaient présents: ur l'Allemagne le Comte de Hatzfellt, M. Busch. pour 1 Antriehe-Hongrie le Comte Sz6chènyi. pour la Belgidue le Comte van der Str Pour le Danemark M. de Vind. pour I7ESspagnęe e Comte de Benomar. pour les Etats- Unis d'Amerique N. John A. Kasson, AM. Henry 8. Sanford. pour la France le Baron de Courcel. pour la Grande Bretagne Sir Edward Malet. pour l'It alie je Comte de Launax. pour les Pays-Bas

Po

aten-Ponthoz, le Baron Lambermont.

partient. LC Comte Sz6échéönyi appuie la proposition du Comte

de Launay qui lui parait ne d6roger en rien aux prineiges de a liberts et de l'sgalits des cultes. Le principe de l'égalité de protection assuré à tous les cultes est formellement exprimèé dans ses paragraphes 1 et 3 de l'article VI. Le 20 paragraphe s'occupe de ja protection à donner non plus aux institutions, mais aux personnes. Or, dans Penumeration faite de ces personnes, il est fogique de tenir compte de ce fait qu'il existe seulement des missionnaires chrétiens.

Le Baron de Courgcel adhèêre 6ögalement à la motion du

Comte Je Lannay. Comme la fait ressortir le Plènipotentiaire

de HAutriche, les paragraphes 1 et 3 de L'artiele VI consacrent

très nettement le principe de la liberté et de l''sgalitè en mati ere II restait à affirmer la protection due aux personnes

religieuse. et kel est Lobjet du paragraphe 2, dont 'snumeration doit tout

naturellement somprendre les missionnaires chrétiens. LAmbas- zadenr de France a retenn avec une profonde satisfaction ce que M. Stanley a dit la Commission, au sujet de l'œuyre civi- lisatrice poursuivie avec succès, en Afrique, par les missions catholiquès frangaises, par celles, entre autres, que dirigent le Jardinal Lavigerie et le Pere Augonard. Le Baron de Courcel rend un hommage reconnaissant aux Euvres de ges pionniers de notre Civilisation et se dit heureux de leur en adresser l'expres- zion du sein méme de la Conférence Africaine. La täche entre- prise par ces hommes de dévonement leur mérite une protection

2 heures 1sz. sous la Présidence du

particuliòre.

Said Pacha croit qu'il serait bon d'inserire, paragraphe de article Vl, à la suite des mots temples et ehapelles“ les mots „és difi ces destins à ldexereiee de tous les eultes“. Le PFrésident dit que la pensée dont s'einspire Said Pacha répond à celle de tous les Membres de l̃a Conférence et a prèé- cissment dirigé les rédacteéurs du Projet.

Le Comté 4e Launay voit avec plaisir que les objections soulevées dans la Commission contre Fadjonction du qualificatif᷑ de „chrétiens“ ne se reproduisent plus dans la Conférence elle meme, et il demande que ce mot soit inserit dans la D6cla- Ala suite d'une interrogation de M. Kasson, il répäte

que son ame dans le dernier „églises,

donner lecture. religienx

La Conference ayant adherè à cette opinion, le Comte de Hatz- felt demande si quelqu'un des Pleènipotentiaires desire prendre ja parole pour la discussion gönsrale du Projet de la Commissien.

Le Comte de Launay, avant que Assemblée n'entame les lelibsrations marquées à son ordre du jour, demande à faire quelques observations relatives an Protocole No. 3. Il tient rappeler, pour prévenir tout commentaire, errone au sujet des ersications échanges à la s6ance du 27 novembre, qu'il n'a jamais parle d'une interdiction du trafic des armes et boissons zfiritucuses. Il croyait seulement, et il le disait dans la troisième zeance, qu'il importerait de chercher à remédier aux abus possibles

par des mesures réglementaires ult6rieures. Son Excellence souhaite qu'il soit fait pröcède dans le prochain protocole.

Le Président lui en donne acte. sons le bönéfice de ces observations.

Ha discussion s'engage alors sur l'article du projet

Ganz anders gestalten sich die Verhältnisse in Frankreich, und de ĩ ; sich die Ver ch, k 11 e ĩ i ĩ ö . Krisis in diesem Lande hat für Deutschland die es fan,, .. . , rer iff, weil in beiden Ländern die Vorbedingungen des fällig zu sein, weil sie keinen? P . ident m r 16 ö. . ö. . Beziehungen übereinstimmen. In Frank. brüderung an dasselbe abzutragen haben 4 d , . ö 294 . herrscht nicht das Mißverhältniß der sinnen des Windthorstschen Antrags stets fäst ii 4. . 1. Tung, wie es ier fits 9. ö. ö und industriellen Bevölke. ganz allein, jetzt doch wieder mit einiger er an. * pn . ee elle e n . ö. der Fall ist. Die Industrie ist hat die neue Aufführung des Schauspiels ‚Antra ug dth 1. . 6 n ie überseeischen Deboucheen, wie dort, wieder gehabt: es hat den Reichskanzler wiede g pi orst' doch ,, n n, natürlichen und bei geordneten bracht, dessen Reden die Sache des Reichs jem ü auf die Bühne ge⸗ , , , . satzmärtt in der elgenen Hereikerung, Ainige, Butzend steisimnfzer? und? idm, . . hüber die Hälfte dem landwirthschaftlichen Gewerbe können. . . D obliegt. Dieser, wohlhabende und konsumirende Mittelstand beginnt durch die Nothlage der Landwirthschaft seine Kauf— kraft zu verlieren. Die Eigenthümer, ihrer Revenüen be— raubt, geben nichts mehr aus. Die Ackerbauer sind ruinirt oder doch entmuthigt; sie verlassen ihre Farmen und suchen ein an=

gen (Sonntag) Frau . h ,. Außerdem bringt

; iederholungen v Fr 9 der Richter von Zalamea“ „die ö inf Richard III. und , die Welt, in der man sich langweilt.“ . an, Weihnachts-⸗Ausstellung, die sich diesmal in ) glücklichen künstlerischen Formen präsentirt, erfreut sich der 3 en Theilnahme von Seiten des großen und kleinen Publikums . das ungünstige Wetter der vergangenen Woche konnte nicht hinderlich sein, dem Etablissement ansehnliche Schaaren von Zu⸗ ,,, . . erntet allabendlich das gemůth⸗ ĩ de irektion mit voll . eih⸗ nachtsstück Die Märchen meiner k Das Belle ⸗Alliance Theater brachte gestern eine No—⸗

ration. ses explications à cet 6égard.

Le Président fait observer quil y a, en ce moment, deux propositions soumises à la Haute Assemblèe:

10 celle du Comte de Launax, 20 celle de Said Pacha. consulte d'abord la Conférence relativement à celle du Représentant de Italie et constate qu'elle ne semble plus ren- contrer aucune opposition de la part des Plènipotentiaires. II

mention de ce qui

Le protocole est adoptè de la

Gewerbe und Handel.

Commission.

deres Gewerbe auf; die Feldarbeiter gehen in die Städt = mehren hier das industrielle Proletariat. Der e, ni gien hft⸗ Méline schilderte in der Getreidezoll⸗Kommission die Lage treffend mit den Worten: „Die industrielle Krisis kommt zum großen Theil von dem Elend der Landbevölkerung her. Das agrikole Elend haͤlt von dem Verbrauch der industriellen Produkte ab.“

Wenn das Korn gut geht, geht alles gut, ist ein al Sprichwort, das sich bis jetzt noch immer bewahrheitet . kt Liedergang der Landwirthschaft folgte die industrielle Krisis auf dem Juße nach und diese kann nur beendet werden, wenn jene wieder in Aufschwung gebracht wird. Unter den Mitteln dazu werden Steuererlasse vorgeschlagen; aber bei dem rapiden Prei! 6 . . Produkte können selbst diese icht ) elfen. Fstancelin im „Figaro“ ie . der Entwerthung gegen die , ih tn 9 rechnung einer Durchschnitts farm von etwa 100 ha . urch successiven Fall der Preise betrug seit den letzten sechs Jahren der Auefgll gegen die früheren Einnahmen jährlich: Bei 466 pa. Ge— treide⸗ Berlust am Preise 3 Fr. per Hekt. 12 Rape, Verlust 6 Fr. per 86 kg 900 Fr . Wolle (Rückenwäsche) Verlust 1 Fr. 50 C. per Kilo auf / zo . 2 Fr. Das setzt also den Gutsertrag gegen früher jährlich um . Fr. herab, während die Gejammtlasten nur 1217 Fr in clusive ö Fr, Grundfsteuer betragen. Eine Ermäßigung der Steuern kann , nicht retten, wohl aber eine bedingte Stabilität der Preise, di urch den Anbau der ausgedehnten Ackerflächen in Amerika Australi ; und Indien, durch die Entwickelung des Verkehrs und die Ermãa ß 9 der Frachten noch immer weiter sinken müssen. Von allen . werden in den Häfen Ackerbauprodukte angehäuft, gegen deren niedri ö 5. kein inländisches Produkt Konkurrenz machen fann. Die i n g. Produktion wird also zu Gunsten der aus ländischen zu . e 6. . e Tit 3 auf der Grenze die aud . . en unterläßt, muß hinterher i e 3 . n aufgebracht werden. er einn , . er diesen Verhältnissen ein Gebot der Selbsterhaltung ge⸗ Von der protektionistischen Strömung, welche i i sich greift, bildet das Erscheinen einer . . 7 l'Evangile de M. de Bismarck“. ein charakteristisches Sin 9 In derselben bringt Jules Domergue einen Auszug der ö ö e des deutschen schutzzöllnerischen Nationalskonomen List vom , n 1841, und versucht nachzuweisen, daß durch Anwendung der . . an, . ö materiellen Wohlstand rr : rsten mar e ü i tischen und wirthschaftlichen Ziele möglich . . ö Die manchesterliche Freihandelsschule macht auch in len glb l fte Anstrengungen, um die schutz;öllnerische bs, srfels seh er ene elis ge se dei en Beaulieu, der Bonapartist ge nenne, n g mn ; ̃ ; „der volks ö Hef , n, ., 8. ö suchen die . wachzurufen. In den Meetings ö rb ieee, . n J . eit Lyon 26 dürften ihre Theorien wenigstens . er ih! . freien Export von Getreide und Schlachtvieh beziehen auch nach 2 ö. verfangen, weil man dort in verblendeter Kurzsichtigkeit . 7 einmal eingexaukten Schlagworten nicht abgeht, und n. Getreidezoll in Verbindung mit den Brodpreisen und einem

rankreich trömung

New⸗JYJork, 5. Dezember. (W. T. B 9 . ö 9 ; s ö ,,, in Allen lin ish . . Hi e . . B.. Ausfuhr nach dem Kontinent

Verkehrs⸗Anstalten.

Cöln, 6. Dezember. (W. T. B.) Der Rhei ĩ hahn . ich g . . n , . ö Wochen gestörte Schiffah ĩ iederum in ö ö. , er J m bu rg. 5. Dezember. W. T. B) Das wi 2h Boh m. Voß“ mit dem . ö * ö. ist in Folge starken Stzrmes und Eisganges fos— . en worden und sitzt in gefährlicher Lage oberhalb des ö kJ welches gleichfalls mit Se ö monia“ losgeri ĩ ĩ ,, ß k ö ris, 5. Dezember. (W. T. B.) Ber 1 zu⸗ , , k ö be , über . Hamburg, 5. ezember. (W. T. B.) Der * Silesia“ der Hamburg ⸗Amerikanischen , New-⸗Jork kommend, heute Nach⸗

Aktiengesellschaft ist, von 1 auf * 5 eingetroffen. ew: York, 5. Dejember. (W. T. B. ,, von der National n ag nie (C. Messingsche Linie) ist hier eingetroffen. Sanitätswesen und Quarantänewesen. ; Italien Nr. 39. Erlaß des Königlich italien inisteri Su . ö Il ,. italienischen Ministeriums des rti ke . ie in den Verordnungen Nr. 29 . 56 . 20. d. Mtß. ) für die Provenienzen . ö striche ke n n n, , 2 . für alle von dort von heute ab ab eh . ,n, , punkte des Reiches bestimmten Ce e e n ,,,, : ausschließli 8 h fn, . und der anstoßenden Inseln ö. 6 8 6 6 Krankheitsfälle nicht vorgekommen sind. güst i 9 6. Von heute ab finden auf den genannten Hafen und . . diejenigen Kontumazial . Bestimmungen Anwendung welche züglich der Quarantäneverordnungen noch unterworfenen Srtschaf⸗

ten 4. ,, ö

. rtikel 3. Für die italienischen Insel

861 Sardinien und den anstoßenden . 1

. er Verordnung Nr. 36 vom 10. Jiovember ?) für die vom

1 , . earn, . . festgesetzte Quarantäne auf⸗

Ueberfahrt ohne Mien ttf . . ; panien

Die an der spanisch franzö

4 h zösischen Landgrenze b =

kẽgige , . (R. A.“ Nr. 280 6 ge keln en

ö mber in eine dreitägige Observation umgewandelt

) 3R. A. Nr. 272 und 286 vom 18. November und 4. Dezember.

billigen Lebensstand bringt. Im Parlament dagegen hat die

vität, betitelt Franziska Seidwitz“, Schauspiel ünf? von Karl Fiedler, und erzie te mit derfelben . , Il nämlich einen Lacherfolg, der bei dem tragischen Charakter des , . doppelt belustigend wirkte. Das Publikum verhielt sich iesem Konglomerat von Unwahrscheinlichkeiten und Lächerlichkeiten gegenüber recht geduldig, und es fehlten selbst am Schluß des durch⸗ gefallenen Stückes die üblichen Aeußerungen des Mißfallens; man war ehen gerecht genug, den Darstellern für die gehabte Mühe und die vergeblichen Anstrengungen den Beifall nicht zu versagen. Auf den k des Stückes näher einzugehen, verlohnt sich nicht . ühe; nur sei bemerkt, daß es namentlich im letzten . verdächtige Anklänge an Emil Gaboriau's Roman z Ha der Dieb enthält. Die Hauptrollen lagen in den Händen . . . . ',. 1 . Würzburg und

. . von Raday hatte eine so schwieri

lösen, daß selbst eine bedeutendere Kraft 366. n , , a 396 diejenige ist, welche der genannten Dame zu Gebote steht Hr . spielte den angeblichen Edelmann recht hübsch, den Bse⸗ wi t jedoch nicht halb so gut, denn man glaubte den Grafen aus Turgen⸗ jews Provinzialin wiederzusehen und zu bören; eine größere Mannig⸗ faltigleit in der Darstellung verschiedener Rollen könnte? selbft einem so tüchtigen Schauspieler, wie Hr. Würzburg ist, nur zum Vortheil ,, , e n , retten, was zu retten war ihe t ndern, daß bei der rührseligen ö. Musik ihre lebhaften Schmerzausbrüche nur fl , , erregten; selbstverständlich trifft hier die Schuld den Dichter Hr . traßmann überhastete sich zuweilen ein wenig, gab jedoch den abenteuer ichen Findling recht angemessen. Die Direktion des Theate z welcher man für die sorgfaͤltige und kostbare Inscenirung die Anerkennung nicht r rf kann, wird gut daran thun, dem Personal eine dankbarere en! e zu stellen als eine derartige, welche wie gestern Abend trotz allen guten Millens zu einer glücklichen Löfunz nicht führen konnte. ö.

Der zum Besten der Unterstützungska . d ,, n,. vom , , . ,, am Montag, den 8. Dezember, im oncerthause stattfindende Herren ⸗Abend verspricht gan außerordentlich interessant zu werden. Es werden durch die Mit⸗ wirkung ngchgenannter Künstler: Hrrn. Blencke. Beck, Dehnicke , . Goeschke, Krolop, Lieban, Link, Menzel, Philipp Peypler, gen gbr, ür He Tlifch . n und Worms, fowie mor rte vom Königlichen O ,, . der Hrrn. Chordirektoren Gräfen r , I, ,, . ö . höchst interessanten Abend ; ; zu in ei den Kam , Hellmuth, Schmidt, Scheibel. und in ,,, . en zu haben: Leipzigerstr. 48, Neue Promenade 1, Gertraudten⸗ i 3 n 3. , , . 109. Dregdenerstr. 93, . 1 edrichstr. l, Neue Königstr. 15 ,, Chausseestr. 8,

Redacteur: Riedel.

Verlag der Expedition (Scholz). Druck: W. Elsner. Sechs Beilagen

Berlint

) Nr. 277 vom 24. November.

(einschließlich Börsen⸗Beilage).

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M. de Serpa rend hömmage äà la fidälits avec laquelle le Baron Lambermont a tenn compte, lors de la rédaction de ce locument. des vues échanges dans la Commission et qui Y ont prövalu. I aurait, toutefois, une observation à prèésenter relative- ment au paragraphe final de article J. Il expose que, lorsque A. Kasson 3 proposé d'étendre 8 domaine de la liberté com- merciale à Est du bassin du Congo, les blènipotentiaires Portugais Int etabli leurs réserves relativement aux térritoires actuellement possédéès par le Portugal sur la eote orientale d' Afrique, et notamment en ce qui concerne la colonie de Mozambique. M. de Serpa croit que, dans sa forme actuelle, le dernier paragraphe le läarticle J ponrrait préter à quelque malentendu contraire d ces röserves, et que, pour en éviter la possibilité, il serait bon de upprimer dans ce paragraphe les mots suivants: , Les Puissanees représenté es à la Conférence ne stipulent due pour elfes- me mes “, cette expression étant de nature ä laisser sup- poser que chaque Puissance s'engagerait z 6établir la liberté com- merciale dans tonteè Létendue de ses possessions actuelles, ce qui serait inexact pour le Portugal, notamment en ce qui touche Nozambique.

M. Busch dit que Pbengagement des Puissances ne porte que zur les territoires qu'elles viendraient à occuper à lavenir. Telle est bien la signification de ja formule adoptée par le Baron Lam- beérmont.

M. de Serpa ayant de nonvean manifesté quelques appré- kensions relativement A la possibilits d'un malentendu, le Baron le Coureel appuie les observations de M. Busch, d'après les- guelles les engagements pris par les Membres de la Conférence Sappliqueront exelusivement aus occupations futures. Si, d'ailleurs, la Gontérence croyait ses intentions à cet gard suffisamment onstatzes par Pinsertion au protocole des remarques précédentes, Reprèsentant de la France se rangerait volontiers à cette opinion. Le Baron Lam bermont déclare qu'il est entièrement d'accord,

luant an fond, avec M. de Serpa. M. Busch dit que la reproduction, au protocole, des expli- eations ainsi échangées serait suffisante hour ne laisser subsister aucun donte relative ment aux intentions de la Conférence, et cette observation ayant rencontre kadhêsion des Membres de la Haute Assemblée, M. de Serpa se déclare satisfait. Le Baron Lam berm ont, pour plus dexactitude dans la Iorme, propose de remplacer, dans le dernier paragraphe de l'article J, le mot „stipulent“ par le mot „szengagent “. Cette modification est approuvée par la Confsörence, . Le 0omte de Hatzfeld4t fait observer que Con a anticipè zur la discussion et il demande si, parmi les membres de l Assem- blee, il en est qui voudraient prendre la parole pour une dis- eussion genérale de Larticle I. . Le Baron Lam bermont expose alors que la Commission, lLexamen de laquelle a été renvoys le projet de Déclaration re- latif à la liberts Gommerciale, a tenu plusieurs sances. Les pro- ces-verbaux, très sommaires, de ces délibérations n'ont aucun caractere officiel et mont pas eéts éerits en vne de la publieitè. La Commission a done pensé faire chose utile en chargeant lun le ses Membres si la Conférence vent bien agréer cette pro-

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) 1

position de donner, sur les articles du projet, des explications

tinent, territoires qui sont en voie de formation. si C'est le cas de substituer aux derniers mot

mise à des . tiellement la clause du premier alin 6a.“ ö

le fait möme de la présence, ot Assemblée est un gage des dispositions libéraleès de

de Gourcel pense que la Haute Ass des Puissances, adoptera puremen par la Commission.

dans la Commission, l ment le régime le plus libèral.

ces pays, dont se fait exclusivement par voie de troc, péennes servent en quelque

d'entrée réöpond exactement aux nöcessités actuelles du commerce. Mais M. Woermann a ajouté que ces conditions se transformeraient dans un avenir plus ou moins lointain, lorsque le commerce sera

moyen de paiements en argen formation aura en lien, les peut- tr les charges fise

aussi bien dans les Etats déjâ constituss que dans les LAssemblée jugera donc, s du second alinéa:

gr ou non maintenue“, cenrci: „sera ou non sou- modifications qui n'altèrent pas essen-

Le Baron de Courcel répond au Comte de Launay que des Plénipotentiaires dans cette e leurs Gou- La Cohmission a entendu et apprécisé les motits qui 1 pour une durée indéfinie le rögime 1 conomique des contrées dont s'oecuhe la Conférence. Le Baron r

emblse, confiante dans les vues 1 t et simplement le texte proposs

ernements. nt la détourner de fixer

Le Baron Lambermont dit qu'il a appuys tout d'abord,

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es propositions tendant à instituer dõfinitiv Depuis lors, M. Woermann, homme e plus compèétent en pareille matière, a expliqus comment, dans Forganisation est encore rudimentaire, le commerce et les marchandises euro- Sorte de monnaie; le Délégus de l'Alle-

nagne a montré, comment, par suite, l'interdiction de tout droit

dans Afrique équatoriale comme ailleurs, au t on de traites. Lorsque cette trans- commergants eux-mémes préféreront e que exportation ne soit pas seule à supporter toutes ales, et il deviendra 6pportun de modifier le rõgime sconomique qu'il s'agit aujourd'hui dtablir. La Commission a été convainche par ces arguments et a fixs un terme de 20 années au bout duquel la révision des stipulations actuelles pourrait avoir lien. Le Baron Lambermont estime done que la formule du projet soumis à la Conférence tient compte, dans une juste mesure, des nécessités du présent et de Lavenir. II naurait toutefois aucune objection contre Padoption de l'amendement du Comte de

Launay.

Le Présid sidérait pas ses intentions cor sertion, au protocole, de sa proposition et des explication présenté es à lappui.

Le Gomte de Launay ayant répondu affirmativement le président constaté que article IV est adoptè par Assemblèe. II met ensuite l'article V en délibération.

Sir E. Malet rappelle que, dans la Commission, des expli- cations ont été échanges relativement au sens préeis des mots ni privilè ge“ inserits dans cet article, et lications seraient reproduites au

arrivs à s'opérer,

ent demande au Comte de Launay s'il ne con-

mme suffisamment remplies par Lin- s qu'il a

„ni monopole, qu'il a été convenn que ces exp protocole de la gonfrence.

Le Baron Eambermont donne à ce propos lecture du passage de son exposs relatif à cet incident (Voir Annexe II

page J).

M. Sanford rappelle qu'il a d6éposé une proposition con-

Me

de supprimer P'snumèration

Empir mans, dont le Gouvernement ! respectèe

terre nature à rassurer complétement le

t ensuite aux voix la proposition du Représentant de la Turquie. Le Baron Lambermont dit que, pour répondre aux in-

tentions de Said Pacha comme à elles de la Conférence, il suffirait

„ö glises, temples et chapellͤes“ t d* substituer expression gensrale „é difices religienx“.

e Président demande Said Pacha sil se considèrerait omme satisfait par se changement de rédaction.

Une conversation s'engage à ee sujet entre Said Pacha, e Comte de Launay et Sir Edward Malet et, à cette occasion, Reprèsentant de la Turquie exprime, de nouveau, ses scrupules Klatirement à la motion du Plénipotentiaire Italien. au sujet de aquelle la discussion avait parn close.

HEAmbassadeur d'Angleterre fait alors e Britannique comprend un grand nombre de sujets musul- de Sa Majesté la Reine entend faire r les intéréts et méme les susceptibilités. Pans ces conditions, le fait que 'Am bass adeur d Angle- adhäre à la proposition du Comte de Launaꝶ est de zepr6sentant du Sultan.

observer que

Said Pacha répond qu'il doit étre bien entendu que s'il se des missions religiéuses musulmanes, elles bénèéficieraient

produisait ins égale à celle dont jouiraient les missions ehré-

d'une protection

tiennes. . Le Baron de Courcel fait ressortir que la France compte,

comme PFAngleterre, un grand nombre de sujets musulmans. A ce titre, il partage les sentiments qui doivent animer Said Pacha, mais il ne les considère en aucune maniere comme affect es par la proposition du Comte de Launaxy.

Mr. Kasson demande si, pour éviter tout malentendu, il ne conviendrait pas de substituer la formule „missionnaires chrötiens de tontes les confessions“ à celle de „mis- sionnaires chrsétiens“.

Le PrTSSident lui fait observer que le mot embrasse toutes les confessions chrétiennes.

M. Kasson se déclare satisfait si mention est faite au pro- tocole que tel est, en effet, avis de la Conférence.

Le Vomte de Benomar appuie la motion du Comte de Launaꝝy dans les termes suivants; „Jadhère à la proposition de S. E. M. PAmbassadeur d'Italie, en ee sens qui doit être entendu que, duns toutes les circonstances, les Gouvernements existants ou qui existeraient à l'avenir dans tous les territoires la Conférence aura établi la liberts commerciale, accorderont aux missionnaires cathosiques la protection spèciale et la libertè dont parle l'article VI.“

Ala suite d'une remarque faite par le Baron Lambermont, d'après laquelle, dans je dernier paragraphe de l'article VI ladjectif reli gienses constitue un pléonasme, la Conference d6eide que ce mot sera ray.

Le Président dèclare ensuite, après avoir consultè la REaute Assemblée, que article VI est adoptè tel quel, et moyennant que le protocole rapportera les explications échanges à ce sujet et contiendra notamment la mention qui a été r6elamèe par M. Kasson.

Le Président revient alors, comme il avait étè entendu, à

) Voir Protocole No 3 page 14.

chrétien“