. . .
Point 4me.
On assure également à Allemagne la liberté de faire des plantations dans ees iles et d' fonder des établissements agricoles, tout comme les sujets espagnols.
Rome, du Vatican, le 22 Octobre 1855.
(L. S.) (3igné) L. Cardinal Jacobini,
Seerétaire d'Etat de Sa Saintetè.
Les soussignès
Son Excellence Monsieur de Schlözer, Envoys extra- ordinaire et Ministre plénipotentiaire de Sa Majesté le Roi de Prusse auprès du Saint-Bièege, et
Son Excellence le Marquis de Molins, Ambassadeur de Sa Majesté Catholique auprè's du Saint -Siège, düment auto- risés pour mener àè termè les négociations que les Gouver— nements d'Allemagne et d' Espagne, sous la médiation 2zcceptée par eux de Sa Sainteté le Pape. ont poursuivies à Berlin et à Madrid au sujet des droits que l'un et autre des dits Gouvernements aurait acquis à la possession des iles Carolines et Palaos, eonsidérant les propositions que Sa Sainteté a faites pour servir de base à leur entente, se sont mis d'accord sur les articles suivants, conformément aux propositions de l'Auguste Médiateur.
Article 1er.
Le Gouvernement allemand reconnait la prioritè de occupation espagnole des iles dites Carolines et Palaos et la souveraineté de Sa Majesté Catholique qui en résulte et dont les limites sont indiquées dans article 2me.
Article 2me.
Ces limites sont formées par I'Equateur et par le onzième degré de Latitude Nord et le cent trente-troisime degré et cent soixante-quatrieme de Longitude Est (Green— wich).
Article 3me.
Le Gouvernement espagnol pour garantir aux sujets allemands la pleine et entire libertè de commeree, de navi- gation et de péche dans les Archipels des Carolines et des Palaos, s'engage à exécuter dans les dits Archipels les stipulations analogues à celles eontennes dans les artieles l, IL et III du Protocole sur Archipel de Sulu signé à Madrid le onze Mars mil hnit cent soizante-di-sept et reproduites dans le Protocole du sept Mars mil huit cent quatre -vingt- einq; c' est-dc-dire:
Io
Le commerce et le trafic direct des navires et des sujets de l'Allemagne avec les Archipels des Carolines et des Palaos, et dans toutes ses parties, ainsi que le droit de péche, seront absolument libres, sans préjudice des droits reconnus à Espagne par le présent Protocole, conformément aux déelarations suivantes:
Ilo
Les autorités espagnoles ne pourront pas exiger à Lavenir que les navires et les snjets de l'Allemagne se ren— dant en toute liberté aux Archipels des Carolines et Palaos, ou d'un point à un autre de ces Archipels sans distinction, ou de làâ dans toute autre partie du monde touchent avant ou après à un point dèsigné dans les Archipels ou ailleurs, qu'ils payent des droits queleonques ou se procurent uns permission de ces Autoritès, qui de leur cöté s'abstiendront
de tout empéchement et de toute intervention dans le trafie susdit.
Il est bien entendu que les Autorits espagnoles n'empeécheront d'aucune manière et sous aucun prétexte importation et l'exportation libre de tous genres de marchandises sans exception, sauf dans les points occupés et conformément à la déclaration IIIo, et que dans tous les points non occupèés effectivement par l'Espagne, ni les navires, ni les sujets précitès, ni leurs marchandises ne seront soumis à aucun impöt ou droit, ou payement quel- conque, ni à aucun rèêglement sanitaire on autre.
III
Dans les points occupés par l'Espagne dans les Archi— pels des Carolines et des Palaos le Gouvernement espagnol pourra introduire des impöts et des règlements sanitajres et autres pendant Loccupation effective des points indiqués. Mais de son cöté l'Espagne s'engage à y entretenir les établissements et les employés nécessaires pour les besoin du commerce et pour l'application des dits règlements.
II est néanmoins expressément entendu, et le Gouverne— ment Espagnol étant résolu de son eötéè à ne pas appliquer aux points occupés des règlements restrictifs, prend volon— tiers l'engagement, qu'il n'introduira pas dans ces points des impöts ni des droits eupérieurs à ceux fixés par les tarifs de l'Espagne ou par les Lraitüs ou Conventions entre Espagne et toute autre Puissance. Il n'y mettra pas non plus en vigueur des räglements exceptionels applicables au commerce et aux sujets allemands qui jouiront sos tous les rapports du mèéme traitement que les sujets espagnols.
Afin de prévenir des réclamations qui pourraient rèsulter de l'incertitude du commerce à l'ẽgard des points occupés et règis par des règlements et tarifs, le Gouvernement Espagnol communiquera dans chaque cas occupation effective dun point dans les Archipels des Carolines et des Palaos au Gouvernement Allemand et en in— formera en mäme temps le commerce par une notification
ubliée dans les journaux officiels de Madrid et de Manille. . aux tarifs et aus règlements à appliquer aux points qui sont ou seront oecupés par I'Espagne, il est stipuls qu'ils n'entreront en vigueur qu'après ün délai de huit mois à Partir de cette publication dans le journal officiel de Madrid.
Il est convenu qu'aucun navire ou sujet de l'Allemagne ne sera obligé de toucher à un des points occupés, ni en allant ni en revenant d'un point non occupé par f'Espagne, st qu'aucun préjudice ne pourra lui étre causé pour ce motif ni pour aucun genre de marchandises à destination pour un point non occupé des Archipels des Carolines et des Palaos.
Article 4me.
Les sujets allemands auront pleine liberté d'acquérir des immeubles et de faire des plantations dans les Archipels des Carolines et des Palaos, d'y fonder des établissements agrieoles, d'entretenir tout espéce de commerce et de passer des contrats avec les habitants et d'exploiter le sol dans les mämes conditions que les sujets espagnols. Leurs droits acquis sont sauvegardéès.
Les Compagnies allemandes qui jouissent dans leur pays des droits des personnes eiviles, èt notamment les Gom— pagnies anonymes seront traitées au meme pied que les susdits sujets.
Les sujets allemands joniront pour la protection de leurs personnes et de leurs biens, Facquisition et la trans-
mission de leurs propriétées et pour l'exereice de leurs rofessions du méme traitement et des mèémes droits que — sujets espagnols.
Article 5me.
Le Gouvernement Allemand aura le droit d'établir dans une des iles des Carolines ou des Palaos une station navale et un dépot de charbon pour la Marine Impériale.
Les deux Gouvernements détermineront d'un commun accord le lieu et conditions de cet éẽtablissement.
Article 6me.
Si les Gouvernements d'Allemagne et de Espagne n'ont pas refusé leur adhésion au présent Protocole dans un dèélai * huit jours à partir d'aujourd'hui ou s'ils notifient leur adhésion avant ce terme par lentremise de leurs Représentants respectifs, les présentes déclarations entreront immèédiatement en vigueur.
Fait à Rome le 17. Décembre 1885.
( L. 8. (signe) Schlsözer. (8. 53 (signé) Le Marquis de Molins.
— Um Se. Majestät den Kaiser als Jubilar⸗-Oberst⸗ Inhaber des Königlich bayerischen 6. Infanterie⸗ Regiments Kaiser Wilhelm, König von Preußen zu beglückwünschen, traf heute Vormittag eine Deputation gedachten Regiments, bestehend aus dem Regiments-Comman— deur Obersten Harrach, dem Oberst⸗-Lieutenant Nürmberger, dem Hauptmann Gack sowie den Premier-Lieutenants Schlink und Hölzle, hier ein und stieg im Kaiserhof ab. Zur Führung der Deputation ist der Major Freiherr von Losn vom 3. Garde⸗ Regiment zu Fuß kommandirt worden.
— Der Bexicht über die gestrige Sitzung des Reichstages befindet sich in der Ersten Beilage.
— In der heutigen (23.) Sitzung des Reichs— tages, welcher der Minister für Landwirthschaft ꝛc., Dr. Lucius, sowie der Staatssekretär des Reichs-Schatzamts, von Burchard, nebst mehreren Bevollmächtigten zum Bundesrath und Kom— missarien desselben beiwohnten, theilte der Präsident dem Hause mit, daß an Vorlagen ein Gesetzentwurf, betreffend die Rechtspflege in den deutschen Schutzgebieten, eingegangen sei.
Das Haus trat hierauf in die Tagesordnung ein, deren erster Gegenstand die Fortsetzung der ersten Berathung des Entwurfs eines Gesetzes, die Besteuerung des Zuckers betreffend, war.
Der Abg. Haerle hob hervor, daß das vorliegende Ge'etz, weit entfernt, den Beifall der landwirthschaftlichen Kreise zu finden, in denselben ernstliche Bedenken hervorgerufen habe, wovon auch die Berathungen des deutschen Landwirthschafts⸗ raths Zeugniß ablegen. Jede Erhöhung der Rübensteuer komme einer Erhöhung der indirekten Steuer gleich, welche auf den Konsum drücke. Man sage zwar, daß diese Erhöhung keinen erheblichen Einfluß auf den Zuckerpreis ausüben werde. Aber sicher sei sie eine Station auf dem Wege zur Erhöhung des Zuckerpreises. Dem könne er niemals beistimmen, da in Deutschland vor Allem die Verpflichtung bestehe, auf eine Ermäßigung des Zuckerpreises hinzuwirken, um den Verbrauch 5 zu erhöhen. (Bei Schluß des Blattes sprach Redner ort.
— Die soeben von der Königlichen Hofbuchhandlung von Mittler u. Sohn ausgegebene Rang- und Quartierliste der Königlich preußischen Armee für das Jahr 1886 schließt sich in Bezug auf Darstellung und Eintheilung des Stoffes an die herkömmliche Form an und weicht in ihrem Inhalt nur wenig von der vorjährigen ab, da die Armee von wesentlichen organisatorischen Veränderungen nur bei dem Ingenieur⸗Corps und den Pionieren berührt wor— den ist. Die höchste Kommandostelle dieser Waffe führt die neue Bezeichnung „General-Inspektion des Ingenieur- und Pionier⸗Corps und der Festungen“; unter demselben bestehen wie früher 4 Ingenieur-Inspektionen, aber in veränderter Zu— sammensetzung, da von kö die 4 Pionier⸗Inspektionen abgezweigt und in 2 Pionier Inspektionen mit je 8 Bataillonen umgeformt worden sind. Bei dem J. Armee-Corps ist eine Kavallerie⸗Division und eine 1. Landwehr⸗-Inspektion, bei dem II. Armee Corps eine 2. Landwehr⸗Inspektion als neu er—⸗ richtet ,,, Bei dem Reserve-Landwehr-Regiment Berlin ist die 3zweitheilung in ein Landwehr⸗Regiment Berlin 1 und Berlin II eingetreten. Außerdem haben einige Ver— änderungen in der Abgrenzung der Compagniebezirke bei mehreren Landwehr⸗-Bataillonen stattgesunden. In den oberen Kommandostellen fand ein Wechsel statt: hei der 3. Armee— Inspektion, dem J. und XV. Armee⸗-Corps, ebenso wechselten die Kommandeure der 1. Garde⸗Division, der 2., 4, 9., 12. 5., 29. Division und der Kavallerie⸗Division des XV. Armee— Corps. Die Kommandantur von Kassel ist eingegangen. Von höheren Offizieren verlor das Heer: Se. König⸗ liche Hoheit den General⸗-Feldmarschall Prinzen Friedrich Carl, Se. Königliche Hoheit den General-Obersten von der Kavallerie, Prinzen August von Württemberg, den General-Feldmarschall Freiherrn von Manteuffel, die Generale der Infanterie, f Karl Anton von Hohen— zollern, Vogel von Falckenstein, von Stülpnagel, von Gott— berg und von Treskow, à la suite des Regiments Nr. 96. Durch den Tod verloren ihre Chefs: das 8. Brandenburgische Infanterie⸗Regiment Nr. 64, das 1. Leib HwHusaren- und das Brandenburgische Husaren⸗Regiment Nr. 3 (gieten-Husaren), Se. Königliche Hoheit den Prinzen Friedrich Carl, das 5. Dragoner -Regiment den Feldmarschall Frei⸗ herrn von Manteuffel, das Regiment Se. Königliche Hoheit den Fürsten von Hohenzollern, das 56. Regiment den General Vogel von Falckenstein, das 10. Ulauen⸗-Regiment Se. Königliche Hoheit den Prinzen August von Württemberg, das 15. Uanen-Regiment Se. Majestät den König Alfons XII. von Spanien. Die Zahl der Feldmarschälle ist im Laufe des Vorjahres auf zwei zusammengeschmolzen. Die Armee zählt gegenwärtig an höheren Offizieren: 51 Generale, 88 General-Lieutenants, 118 General⸗Majors, 262 Obersten, 292 Oberst-Lieutenants und 1105 Majors.
— Der Abonnent einer verbotenen sozialdemokratischen Zeitschrift, welcher drei oder noch mehr bestimmte Mitleser hat und diesen die ein rift zugänglich macht, ebenso die an dieser Cirkulation bewußt betheiligten Mitleser machen sich nach einem Urtheil des Reichsgerichts, III. Strassenats, vom 26. Oktober v. J., dadurch der Verbreitung einer verbotenen soz ĩaibemokratifchen Druckschrift im Sinne des §. 19 des Sozialistengesetzes schuldig.
— Das Schulgeschwader, bestehend aus S. M. Schiffen „Stein“, „Moltke“, „Sophie“ und „Ariadne“,
Geschwaderchef: Kapitän zur See und Kommodore Stenzel, ist am 11. Januar er. in St. Vincent (Westindien) eingetroffen und beabsichtigt am 16. dess. M. die Reise fortzusetzen.
Liegnitz, 9. Januar. An dem aus Anlaß der Jubiläumsfeier veranstalteten Festdiner der Offiziere dez Königs-Grenadier-Regiments nahmen, wie das „Sta dtblatt“ mittheilt, verschiedene ehemalige Offiziere dez Regiments Theil. Es wurde nur ein Toast ausgebracht, und zwar durch den QObersten Malotki von Trzebiatowski auf Se. Majestät den Kaiser und König. Brausend ertönte das Hoch auf den allerhöchsten Chef des Regiments, während die Regimentsmusik die Nationalhymne intonirte. Der SOberst verlas darauf die verschiedenen Gratulationsschreiben und Depeschen. Die dadurch hervorgerufene freudige Stimmung steigerte sich zur Begeisterung, als eine Depesche Sr. Majestät des Kaisers eintraf, welche nachstehenden Wortlaut hatte:
Berlin, Palais, 3 Uhr 24 Minuten Nachmittags. An das Kommando des Königs-Grenadier-Regiments (2. Westpreuß.) Nr. 7. Ich erfahre, daß Mein Regiment heute den Tag begeht, an welchem es seit 25 Jahren Meinen Namen trägt, neben dem des 7. und 2. Westpreußischen. Ich kann es nicht unterlassen, dem braven Re⸗ giment Meinen herzlichen Dank für die Erinnerungsfeier hiermit aus— zusprechen, und kann Mir Glück wünschen, daß dasselbe unter Meinem Namen den Ruhm glorreich bewährt hat, den es sich in den Be— freiungskriegen von 1813 bis 15 und 1848 unter schweren Kämpfen
errungen hatte. Wilhelm.“
Abends begannen die Festlichkeiten für die Mannschaften. Sämmtliche Lokale waren festlich geschmückt. Nach der Polo— naise hielten die betreffenden Compagnie⸗-Chess auf die Bedeu⸗ tung des Tages hinweisende Ansprachen, welche mit einem Hoch auf den Kaiser schlossen. Ferner wurde die oben mit— getheilte Depesche Sr. Majestät verlesen und jubelnd begrüßt.
Bonn, 9. Januar. (Köln. Ztg.) Das 1. Rheinische Husaren-Regiment Nr.] beging gestern die Feier des Tages, an welchem dasselbe vor 25 Jahren seinen Ehrennamen als ,, , , erhielt. Schon am Abend des vorhergehenden Tages waren die Kasernen des Regiments festlich geschmückt und beleuchtet worden, und das Sffizier— Corps empfing in seinem Kasino die zahlreich erschienenen früheren Offiziere des Regiments. Unter den Letzteren befand sich Prinz Heinrich von Hessen und bei Rhein, Commandeur der 25. Division, 1866 etatsmäßiger Stabs— offizier des Regiments. Um 11 Uhr, heute Vormittag, fand im Hofe der neuen Kaserne des Regiments vor dem Köln— Thor eine Parade statt, die der Prinz von Hessen abnahm. Vor. Beginn des Vorbeimarsches in Zügen hielt der Regiments-Commandeur, Oberst von Colomb, eine Ansprache, in welcher er der Bedeutung des Tages gedachte, an welchem vor 25 Jahren der Hohe Chef des Regiments erklärt hatte, daß Sein Regiment, dessen Chef Er als Prinz⸗Regent bereits im Jahre 1857 ge— worden war, Ihm auch nach dem Antritt Seiner Regierung als König verbleiben solle. Der Ruhmesthaten des Regiments in den beiden letzten Kriegen wurde gleichfalls Erwähnung 561 und am Schluß Sr. Majestät ein Hoch ausge— racht. Der Abgesandte des Kaisers, der Commandeur des VIII. Armee⸗Corps, Freihertr von Los, traf um 12 Uhr mit Gefolge zum Feste hier ein; Ihre Majestät die Kaiserin hatte ein Glückwunsch-Telegramm gesandt, das mit lauter Freude begrüßt wurde. Zahlreiche andere Glückwünsche von früheren Offizieren des Regiments waren gleichfalls eingetroffen. Nachmittags fand im Offiziers— Lasino ein Festessen und Abends in der Beethovenhalle eine Festlichkeit der Mannschaften statt. — Der Verein der früheren Könis-Husaren hatte eine besondere Feier des Tages ver— 9. w und die Stadt bezeugte ihre Theilnahme durch Fahnen— schmuck.
Bayern. München, 11. Januar. Die „Allg. Ztg.“ meldet: Durch Armeebefehl vom 16. Januar 1861, gezeichnet von des höchstseligen Königs Maximilian II. Majestät und zegengezeichnet von dem damaligen Kriegs⸗-Minister von Lüder, wurde das am 2. Januar desselben Jahres durch den Tod König Friedrich Wilhelms IV. vakant gewordene 6. In— fanterie-Regiment Sr. Majestät dem König Wil— helm von Preußen verliehen, dessen Namen das Regiment seit diesem Tage zu führen hat; seit dem 12. März 1871 heißt das Regiment „Kaiser Wilhelm, König von Preußen“. In diesen Tagen nun werden es 25 Jahre seit Erlaß dieses hochbedeutsamen Armeebefehls, und aus diesem Anlaß wird sich eine Deputation des genannten Regiments nach Berlin begeben, um dem Erlauchten Regiments-Inhaber die Glückwünsche des Regiments zu über— bringen.
Sachsen. Dresden, 12. Januar. (W. T. B.) Die Zweite Kammer genehmigte heute den Ankauf von drei nothleidenden Freiberger Erzgruben für insgesammt 2376000 M6 und bewilligte. 100 000 MSé als Betriebskapital und 460 000 606 zu nothwendigen Herstellungen in den Gruhen.
Württemberg. Stuttgart, 12. Januar. Der „Staats-Anzeiger für Württemberg“ meldet: „Mit Zustim— mung der beiderseitigen hohen Eltern und mit gnädigster Einwilligung Sr. Majestät des Königs und Sr. Durchlaucht des regierenden Fürsten zu Schaumburg-Lippe haben sich Se. Königliche Hoheit Prinz Wilhelm von Württemberg mit Ihrer Durchlaucht der Prinzessin Charlotte zu Schaumburg-Lippe verlobt. Die hohe Braut, geboren den 10. Oktober 1864, ist die Tochter des Prinzen Wilhelm zu Schaumburg-Lippe zu Nachod in Böhmen und der Prinzessin Bathildis, einer Tochter des verstorbenen Prinzen Friedrich von Anhalt. Se. Majestät der König sind mit der ganzen Königlichen ili durch diese Verbindung mit innigster Freude, welche sicher auch im Lande den lebhaftesten Widerhall finden wird, erfüllt und egen die Zuversicht, daß der Entschluß des Prinzen zum Wohle des Landes gereichen werde.“
Sachsen⸗Coburg⸗Gotha. Gotha, 12. Januar. (Goth. Ztg.) Der Herzog ist gestern Abend hier eingetroffen. Die Herzogin verläßt schon im Laufe dieses Monats Coburg, um sich nach Nizza zu begeben.
Oesterreich⸗ Ungarn. Wien, 11. Januar. (Wien. Abdp.) Der nieder , Landtag erledigte in seiner heutigen Sitzung eine Reihe wichtiger Vorlagen, darunter die e en fn betreffend die Theilung gemeinschaft— licher Grundstücke und die Arrondirung der Waldgrenzen, ferner die Voranschläge für die Volks- und der gewerb⸗ lichen Fortbil dungsschulen. Morgen findet wieder eine
Sitzung des Landtages statt.
di ge 12. 8 (W. T. B) Das Unterhaus begann heute die Budgetdebgtte. Der Finanz⸗-Minister erläuterte die einzelnen Budgettitel und hob hervor, daß die Staatseinnahmen des Vorjahres bei den meisten Posten den Voranschlag überstiegen hätten. Die Grundsteuer habe ein Plus von 3 Millionen, die Verzehrungssteuer ein Plus von einer Million ergeben. Die Berathung wird morgen fortgesetzt.
Großbritannien und Irland. London, 11. Januar. (Allg. Corr) Es steht nunmehr fest, daß die Königin das Parlament am 21. d. in Person eröffnen wird.
Am Sonnabend hielt das Kabinet wiederum eine längere Sitzung, in welcher der Entwurf zur Reform der Lokal-Regierungen von England, Schottland und Irland den Hauptgegenstand der Erörterung bildete. Der Präsident des Lokal⸗Regierungsamts, Mr. Balfour, wurde, obwohl er nicht wie sein Amtsvorgänger, Sir Charles Dilke, dem Kabinet angehört, zu der Sitzung hinzugezogen, um den Ministern mit Information und Rathschlägen über den Gegen— stand seines Ressorts zur Hand zu gehen. Sämmtliche Mit— glieder des Kabinets waren zugegen mit Ausnahme von Lord Carnarvon, der in Irland bleibt. Es ist die Rede davon, daß Lord Carnarvon infolge mißlicher Gesundheit den irischen Vice⸗Königs-Posten in Bälde niederlegen werde. Ferner werde auch Sir W. Hart-Dike, der Staatssekretär für Irland, demissioniren und durch Mr. Stanhope, gegenwärtig Präsident des Handelsamts, ersetzt werden. —
Sir Edward Thornton begiebt sich in wenigen Tagen nach Konstant inopel, um seinen Posten als britischer Botschafter bei der Pforte anzutreten. Sir William White, der bisherige Vertreter Großbritanniens in Kon— stantinopel, kehrt auf seinen früheren Posten in Bukarest zurück, da die Botschafter-Conferenz über die rumelische Frage nicht wieder zusammentritt.
Aus Birma wird berichtet:
Mandalay, 8. Januar. Die Flottenbrigade kehrt heute nach Rangun zurück. Der Dber-Kommissär von Britisch⸗ Birma, Mr. Bernard, wird am 15. d. nach Rangun zurückkehren. Ein kleines Truppencorps ist abgeschickt worden, um den rebellischen Prinzen Mynzindine, der sich sammt seinem Anhange 10 Meilen nördlich von Mandalay aufhält, zu umzingeln und gefangen zu nehmen.
— 12. Januar. (W. T. B.) Beide Häuser des Parlaments traten heute zusammen. Im Unterhause wurde der Deputirte für Warwick, Peel, einstimmig zum Sprecher gewählt. Namens der Parnelliten erklärte MCGarthy: dieselben wollten gegen die Wahl keinen Ein— spruch erheben, müßten sich jedoch gegen die von Peel bei verschiedenen Anlässen gezeigte Parteilichkeit verwahren. Peel nahm die Wahl an. Die Sitzungen beider Häuser wurden auf morgen vertagt.
Nach einer Effiziellen Depesche hat General Prender— gast am 6. d. Bh amo verlassen und ist am 10. d. nach Mandalangy zurückgekehrt. In Bhamo herrschte Ruhe und hat die Bevölkerung ihre gewöhnliche Beschäftigung wieder aufgenommen.
SFrankreich. Paris, 12. Januar. (W. T. B.) In der heutigen Sitzung der Deputirtenkammer hob der Alters-Präsident Louis Blane in seiner Ansprache die Nothwendigkeit für die Republikaner hervor, sich eng zusammen— zuschließen, um die Stabilität der Regierung zu sichern; er zollte dann der Wiederwahl des Hrn. Grévy Veifall und for— derte schließlich die Kammer auf, sich mehr mit den Geschäften des Landes und weniger mit Politik zu befassen. Die Kammer schritt darauf zur Präsidentenwahl und wählte Floguet mit 243 von 298 abgegebenen Stimmen wieder. Die ganze Nechte enthielt sich der Abstimmung. Zu Vize⸗Präsidenten wurden de la Forge, Lefevre und Buyat wieder und an Stelle des zum Landwirthschafts-Minister ernannten Develle Casimir Perier neu gewählt.
Im Senat sprach sich Carnot als Alterspräsident in ähnlicher Weise aus wie Louis Blanc in der Kammer und deglückwünschte den Senat zur Bewilligung der Tongking— . Die Sitzung des Senats wurde dann bis Donnerstag vertagt.
Dem „Temps“ zufolge wird Paul Bert als französi— scher Mönister-Refident für Annam und . nach Hue gehen. — Dasselbe Blatt schreibt: bevor eine Ent' scheidung darüber getroffen werden könne, ob die für 1889 in Aussicht genommene Äusstellung eine Welt⸗Ausstellung sein solle, sei es nothwendig zu wissen, ob die auswär? tigen Regierungen an einer solchen fich betheiligen wür⸗ den. Die Vertreter Frankreichs im Auslande ständen im Be— griff, die Regierungen, bei denen sie beglaubigt sind, darüber zu befragen. aFESpanien. Madrid, 12. Januar. (W. T. B.) Nach— richten aus Cartagena zufolge herrscht dort fortgesetzt Ruhe. Der ö. des verwundeten Generals Fajardo ist zwar bedenklich, doch noch nicht hoffnungslos. Hehe Aufrüͤhrer
sind gefangen genommen worden und werden nach der Strenge des Gesetzes bestraft werden. ᷓ
. Serbien. Belgrad, 12. Januar. (W. T. B) Der König ist heute mit seinem militärischen Gefolge nach Nisch an, . Minister Garaschanin gab dem König bis Ralja Us Ge 4
Rußszgland und Polen. St Petersbur 5. . len. St. rg, 15. Januar. kö B.) Die Kaiserliche Familie ist“ gestern' Abend zu ö Aufenthalt hierher übergesiedelt.
ö Sin Kgiserlicher Erlaß bestätigt den Großfürsten Michael in der Würde des Präfidenten des Reichs⸗ , für 135. — Durch wäiter Kaiserliche Erlasse werden der, Geheimrat) Du vn ow o, unter Enthebung von . . . Adjunkt des Ministers des Innern, zum Mit⸗ ö g, n , und Geheimrath Fürst Gagarin, bisher Gouverneur des Gouvernements Rjäsan, zum Adjunkten des Vin isters des Innern ernannt.
s Das Reichs budget für 1888 weist an ordent⸗ ichen Stagtseinnahmen 85 463 691 Rhl. und an or⸗ denllichen Staatsgusgaben sl zl G0 Röbl, somit ein Defizit 5 ö 287 0Y Rbl. auf. Außerdem ssind noch an außer⸗ ordentlichen Staatsausgaben für den Bau von Eisenbahnen
und Hafenbauten 52 643 210 Rbl. eingestellt, welche, ebenso wie das Defizit, aus den außerordentlichen Hilfs— mitteln zu decken sind. — Das Exposé des Finanz— Ministers erklärt das Defizit für eine Folge der gegen⸗ wärtigen Krise in Handel und Industrie, von welcher, ebenso wie Rußland, auch andere westeuropäische Reiche heimgesucht seien. Der Finanz⸗Minister bezeichnet es als unthunlich, das Gleichgewicht im Budget durch sofortige Steuer— erhöhung oder durch Ausschreibung neuer Steuern her⸗ beizuführen, versichert aber; die Deckung des Defizits sowohl wie der außerordentlichen Ausgaben werde nicht schwer fallen, indem die Mittel hierzu theilweise schon baar vorhanden seien, theilweise einfließen müßten und theilweise durch Kredit— Operationen realisirt werden könnten, welche bei der gegen⸗ wärtigen Lage des russischen Geldmarkts durchaus ausführbar erschienen.
Amerika. Washington, 12. Januar. (W. T. B.) Eine Depesche des Journals „World“ aus Washington meldet: Die Vorlage wegen Suspen sion der Silber— Ausprägung habe keine Chance, während der Session des gegenwärtigen Kongresses angenommen zu werden. Die Re—⸗ präsentantenkammer sei der Vorlage entschieden abgeneigt. Die Staaten New⸗York, New⸗Jersey und Neu⸗England hätten sich energisch für die Vorlage ausgesprochen, in den anderen Staaten sei aber die öffentliche Meinung getheilt oder ent— schieden gegen die Suspension.
Asien. (Allg. Corr.) Ein Telegramm aus Jeddah, vom 9. d, meldet, daß in Folge des Umsichgreifens des Araber-Aufstandes im Hedjaz 1000 Mann tür— kische Truppen von Konstantinopel zur Verstärkung der Garnison der Provinz angekommen seien. Alle nach Mekka führenden Straßen sind versperrt, ausgenommen in der Um— gegend von Jeddah.
Afrika. Egypten. Kairo, 10. Januar. (Allg. Corr.) General⸗Lieutenant Sir F. Stephen son ist heute Morgen von Wady Halfa nach Assuan abgereist wo er am nächsten Mittwoch erwartet wird.
Dem „Daily Chronicle“ wird unterm 10. d. M. aus Kairo gemeldet: Ermuthigt durch den britischen Rückzug, der selbst hier sehr allgemein dem Umstande zugeschrieben wird, daßdie Engländer außer Stande sind, die vorgeschobeneren Posititionen zu behaupten, hat der Feind seinen Marsch nordwärts wieder aufgenommen. Er bewegt sich westlich vom Nil längs der Darfur-Straße und dringt gegen Abri vor. Es dürfen daher weitere Kämpfe erwartet werden.
Das egyptische Budget, welches abgeschlossen, aber noch nicht veröffentlicht ist, weist, wie man der „Times“ tele— graphirt, befriedigendere Ergebnisse auf, als man erwartet hatte. Die Einnahmen sind die größten, welche jemals erzielt wurden. Dies ist hauptsächlich den Zoll-Einkünften zuzu⸗ schreiben, deren Ertrag den Durchschnitt der vorhergehenden funf Jahre um 186 090 Pfd. Sterl. übersteigt. Das Budget resultirt in einem Ueberschuß von 809 000 Pfd. Sterl., von welchem die Defizite der Domänen- und Dairg⸗Verwaltung 500 000 Pfd. Sterl. absorbiren, sodaß 300 90090 Pfd. Sterl. verbleiben. In diesem Resultat sind die Kosten der Okkupatious-Armee mit— inbegriffen; die Sudan-Ausgaben, die ein Sonderbudget bilden, werden jedoch aus der Million gedeckt, die aus der neuesten Anleihe dafür ausgesetzt ist. Der Ueber— schuß von 300 000 Pfd. Sterl. bleibt unrerausgabt bis Ende 1886, worauf die Ueberschüsse der zwei Jahre hinreichenden falls im Einklange mit der Finanzkonvention zur Zurück— zahlung der von den Coupons provisorisch abgezogenen 5 Proz. verwendet werden; von dem nach diesem Abzug etwa verblei— benden weiteren Ueberschuß wird eine Hälfte der Staats— schulden-Tilgungskasse zur Fundirung einer Anleihe und die andere der Regierung für Verwaltungszwecke überwiesen werden. Wenn das laufende Jahr nur einen Ueberschuß von 10) 000 Pfd. Sterl. erzeugt, kann der Abzug aus dem Coupon zurückgezahlt und die Finanz-Convention mithin vermieden
werden.
II. Januar. (Allg. Corr) Das „Reutersche Bureau“ meldet: Der neue französische diplo— mati sche Agent, M. Taillandier, wurde heute früh im Abdin-Palast von dem Khedive in einer Audienz empfangen und überreichte Sr. Hoheit sein Beglaubigungs— schreiben. Von beiden Seiten wurden freundliche Ver— sicherungen abgegeben. Wie es heißt, ist M. Taillandier instruirt worden, eine versöhnlichere Politik als sein Vor— gänger, M. Barrère, zu verfolgen, dabei jedoch gleichzeitig die französischen Interessen in Egypten im Auge zu behalten.
Zeitungsstimmen.
— Die „Magdeburger Zeitung“ konstatirt, daß die Oppesitionspresse sich mit ihren Artikeln gegen das Branntwein⸗ monopol in merkwürdiger Weise“ widerspreche, und illustrirt dies an Auslassungen, welche den in Aussicht genommenen Ankaufspreis von 36– 40 M pro 100 1 rohen Kartoffel⸗ Branntwein betreffen. Die „Freisinnige Zeitung“ äußerte nämlich hierüber:
„Gegenwärtig beträgt der Marktpreis für den Hektoliter Kartoffel— spiritus Z38 6, was nach Abzug der Steuer dem Brenner einen Erlös von 22 6 gewährt. Unter dem Monopol sollen den Kartoffelbrennern dagegen iwischen 30 und 40 „Mm je nach der jährlichen Festsetzung des Bundesrathes gezahlt werden. Der Brenner foll also 8 bis 3 M. für den Hektoliter vom Monopol mehr erhalten, als er egenwärtig im Handel bekommt. Bei einer Produktion von beispielsweise 3 Millionen Hektoliter Kartoffelspiritus erhalten also die 4906 Kar— toffelbrenner Norddeutschlands durch das Monopol ein Jahresgeschenk für ihre Brennereien im Betrage von 3 Millionen x 38 — 23 Mil lionen bis 3 Millionen x 18 — 54 Millionen Mark. Da die vor— handenen Brennereien ein Recht auf Absatz in ihrem bisherigen ÜUm— fang erhalten, so würde damit der Werth der betreffenden Güter sich um Hunderttausende erhöhen.“
Dagegen meint die fortschrittliche „Breslauer Zeitung“: „Und der Preis, den der Brenner erhält? Auch mit diesem sieht es, wie der Berliner zu sagen pflegt, brenzlich aus. Für die Gestaltung des Tarifs soll bis auf Weiteres die Maßgabe gelten, daß bei Kartoffel⸗ branntwein ein Preis von mindestens 30 und höchstens 40 6 für das Hektoliter bezahlt wird. Der Durchschnittspreis war an, der Breslauer Börse in den letzten 16 Jahren 50 9. (Genau 49.9, nämlich 18576: 47,05, 1877: 50,29, i878: 50,73, 1879: 52,099, 1880: 59,09, 1881: 53,21, 1882: 48,01, 1883: 52,16, 1884: 46,13, 1885: 40,30.) Von diesem Preise gehen 15 0 Steuer ab, — eigentlich weniger, da thatsächlich mehr als 8o½! Spiritus ge— zogen werden, — es bleibt also ein Durchschnittswerth des unversteuer⸗ ten Produktes von 35 6, während das Reich sich vorbehält, nur 30 6 zu geben. Mithin heißt das Monopol in dieser Gestalt besten Falls, die schlechten Preise in Permanenz zu erklären, die wir
in den letzten Jahren gehabt haben. Und damit sollten die Herren Landwirthe und Brenner sich zufrieden erklären!
Eine dritte Berechnungsart gab die „Vossische Zeitung' zum Besten: Die Preisforderung der Brennerei⸗Interessenken ist aller⸗ dings Seitens der Regierung angenommen worden. Der Durchschnitts⸗ Preis ven 30 „ per Pektoliter Rohspiritus ist nicht dem letztjährigen Durchschnittspreis (41,73 M brutto), sondern dem Durchschnittspreis der letzten lo Jahre (H1,5 M brutto) entnommen, wie das Organ der Interessenten es verlangte. Auf 5l M abgerundet und ein Schwanken nach oben und unten um 5 M angenommen, ergiebt dieser Preis einen Minimalsatz von 46 ε, oder nach Abzug der Steuer (16 „) als Ankaufspreis für die Monopolverwaltung im Minimum 30 , im Durchschnitt 35 AM, im Maximum 46 46, wie im Entwurf fest— gesetzt ist. Das jetzige Preisniveau ist durch die Ueberproduftion der Brenner selbst herbeigefüͤhrt worden; die Erhöhung desselben auf das Niveau früherer Jahre, also eine Prämie für dieselben, der nicht ein⸗ mal das Aequivalent einer entsprechenden Produktions verminderung gegenüber steht. Selbst wenn der Bundesrath nur den Monopol preis von 30 (M gewährt, zahlt das Reich den Brennern eine baare Subvention von 36 Millionen Mark.“
— Der „Hannoversche Courier“ sagt in einer Deutschland am Anfang des Jahres 1886“ überschriebenen Betrachtung:
Was die innere Lage Deutschlands betrifft, so kann man auch da mit Befriedigung auf die Fortschritte der Einigung in den ersten beiden Dezennien zurückblicken. ..
Durch das Gesetz über die Krankenkassen und über die Unfallver— sicherung der Arbeiter ist der großartige Versuch unternommen, die unleugbare Nothlage der arbeitenden Klasse zu lindern und die dem Staat entfremdeten Arbeiter diesem wieder zu gewinnen.
Daß dieser Versuch gemacht ist, danken wir vor Allem dem Fürsten Bismarck; wenn diese humanen Bestrebungen zu einem Er— folge, zu günstigen Resultaten führen, so werden noch spätere Gene— rationen den genialen Urheber und furchtlosen Vorkämpfer dieser Idee segnen.
Die Einigung der Nation ist somit in den wesentlichsten Punkten vollzogen oder doch wenigstens angebahnt, und die Kompetenz der ein— zelnen Bundesstaaten auf diejenigen Gebiete zurückgedrängt, die einer gleichartigen Regelung für die ganze Nation nicht so dringend bedürfen.
In dem mächtigsten deutschen Bundesstaat Preußen sind im Laufe dieser zwei Dezennien zwei großartige legislatorische Aufgaben durch- geführt, welche von dem wesentlichsten Einfluß aus die ganze innere Entwickelung sein werden, die Verstaatlichung der Eisenbahnen und die Reform der Verwaltung mittelst größerer Dezentralisation und Selbständigkeit der Provinzen, mittelst Heranzichung des Laien— elements und Einführung der Verwaltungsgerichtsbarkeit. Die Reform erstreckt sich jetzt schon auf den größten Theil der Provinzen und wird bald die ganze Monarchie umfassen.
Kurz, wir sehen überall ein thätiges Vorwärtsstreben und Schaffen in Preußen wie im Reich, eine Organisation drängt die andere, und S ist keine leichte Aufgabe für die Beamten und die Bürger des Staats, vie neuen Gesetze und Institutionen kennen zu lernen, geistig zu durchdringen und sich in sie hineinzuleben.
Aber nicht überall bietet unsere innere Lage einen so freudigen Anblick dar, wie auf dem Gebiete der Gesetzgebung.
Die politischen Parteien in Deutschland liegen unter sich und mit der Regierung im heftigsten Hader, die Oppoösitionsparteien, die ultra— montane Partei, die Polen, Elsässer, Dänen, Partikularisten, die tief— verstimmte freisinnige Partei und die dem Staat feindlich gegenüber⸗ stehenden Sozialdemokraten bilden die Mehrheit im Reichstag, die regierungsfreundlichen Parteien, die Deutsch⸗ und Freikonservativen mit den Nationalliberalen, sind ihnen an Zahl nicht gewachsen
Ministerialblatt für die gesammte innere Verwal— tung in den Königlich preußischen Staaten. Nr. 11. — Inhalt: J. Allgemeine Verwaltungsfachen. Zweiter Nachtrag zu den Ausführungsbestimmungen über das Staatsschuldbuch. — Ablehnung eines Antrages auf Eintragung anstößiger Vornamen in das Standes⸗ register. — Behörden und Beamte. Termin zur Zahlung von Waisengeld für ein nach dem Tode des Vaters geborenes Kind. — Ueberweisung von Dienstwohnungen an Beamte. — Verwaltung der Kommunen, Korporationen und Institute. Vertretung eines minder jährigen Rittergutsbesitzers auf dem Kreistage. — Krankenversicherung der Arbeiter. — Mehrbelastung von Kreistheilen. — Führung eines Unfallverzeichnisses — Nichtwählbarkeit von Beamten als Abgeord— nete zum vierten Stande des Rheinischen Provinzial⸗Landtags. — Zu⸗ wendungen an Stadtgemeinden, welche zu Gunsten höherer Schulen schenkungsweise gemacht werden. — Polizeiverwaltung. A. Gewerbe— polizei. Kleinhandel mit Spirituosen, Zubehör zur Gast- und Schank— wirthschaft. — Beherbergung von Reisenden, welche kein Unterkom— men finden können. — Druckschriftenkolportage. — B. Sicherheits- polizei. Handhabung der Strafbestimmungen zur Unterdrückung der Reblauskrankheit. — Maßregeln zur Herbeiführung einer größeren Feuersicherheit in Theatern. — C. Gendarmerie. Tagegelder für zum Militärersatzgeschäft kommandirte Gendarmen. — D. Gefaͤngnißwesen, Straf- und Vesserungsanstalten. Anzeige von Personal-Veränderun— gen bei den Stellen der Hausväter ꝛc. — Uebersicht von den in Zwangserziehungen untergebrachten verwahrlosten Kindern. — Ver— waltung der öffentlichen Arbeiten. Fortgewährung von Remunera— tionen an zu Militärübungen einberufene Hülfsarbeiter der allgemei— nen Bauverwaltung. — Verwaltung für Tandwirthschaft, Domänen und Forsten. Vertragsbedingungen bei Ausführung von Hochbauten. — Militär, und Marine-Angelegenheiten. Nachtragsverzeichniß höhe⸗ rer Lehranstalten, welche zur Ausstellung von Zeugnissen für den ein— jäührig-freiwil igen Dienst berechtigt ind. — Behandlung von Aus— ländern, welche irrthümlich zum Militärdienst ausgehoben werden. — Kontrole über Einjährigfreiwillige, welche ihren Geburtsort verlassen. — Vorbesichtigung und definitive Abschätzung von Flurschäden durch diesel ben Personen. ;
Landtags ⸗ Angelegenheiten.
Essen 117 Januar. (Köln. Itg. . Der Ober⸗Bürgermeister Qache, Mitglied des Herrenhaufes, ist heute Abend 8 Uhr im Sitzungssaale der Stadtverordneten plötzlich gestorben.
Statistische Nachrichten.
Das Novemberheft zur Statistik des Deutschen Reichs ver— öffentlicht unter der Ueberschrift: Die Branntweinbrennerei und, die, Branntweinbestenerung im deutschen Zoll— gebigt während des Etatsjahres üss4/85* eine Reibe von slebersichten und Tabellen, welche auf das deutsche Branntweinsteuer⸗ gebiet und auf das Großherzogthum Luxemburg Bezug haben, nebst einem Auszug aus den Angaben über die Branntweinbesteuerung in Bayern, Württemberg und Baden, d. h. denjenigen deutschen Staaten, in welchen diese Besteuerung nach Artikel 35 der Reichsverfassung der Landesgesetzgebung vorbehalten geblieben ist. Aus den betreffenden Ermittelungen für das Reichssteuergebiet ist kurz Folgendes zu entnehmen; Während des Etatsjahres 1854/85 sind 30 499 Brennereien, und zwar 3916 in den Städten und 26 493 auf dem Lande, im Be— triebe gewesen (gegen 32518 im Vorjahre), von denen 205 (7241 im Voriahre) hauptsächlich mehlige Stoffe (Kartoffeln und Getreide),
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