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devoient cstre ordonncz. Ils cn liüs-
soicnt néanmoins aeoct souvent la
nomination aux Evêques , aeur rour
quand ils estoicne dans unc étroite
conaeidence avec cux. Il arrivoit n
me assez louvenr que ce rapport que
les Evêques avoicnr avec Îcs Princes,
estoit cause qu’ils lcs emp!oïoienc à
terminer les diaeérens 8 les procés
embarraslez qui .naissoient entre Ics
particuliers, te relpeâ que l’on avoir
pour la réligion dont ils cstoient Ics
cheaes , leur donnant pour cla plus
de créance & d'autorité gue n’cu
weoient les magistrats aeéculicrs, Mais
il naquit de-1à un abus conaeidérable,
car les Evêques cn prirent ocaaeion
d’abandonner le soin de la prédica-
tion de l'Evangile , qui csc princi-
pal croploi qu'ils ont receu au Sci
gncur „ Ne pouvant pas suaelice cn
méme«tems à deux charges aei oppo-
sés ; Ccla donna licu lors qu’il s’a-
giiloir de nommer un Evêque de
choihir plúcôt un sage aeelon.le monde
qu’an homme propre aux aeondtions
de la Religion. C'est aînli: que l’on
en uaec cncor à préschr ». 8c:l'ón rien