de l’origine des Dixmer. H1 rrême venanc quelque aeois à man- quer , on restoir privé de l’un & de Pautre bénéaeice. Comme il y avoit À quelque inconvenient, l'usage s'in= troduiaeir que li Pimperration du (e- cond bénéaeice ne pouvoit pas avoir son caeier, le bénéaeicier lans autre aeor- malité se remctoit en polleslion du prémier bénéaeice qu’il avoit quitt & c'elt ce que l’on apcla regrés. Sur ce modcle la Cour Romaïne acorda à toute personne qui resigne- roit aeon bénéhce la aeaculté d’y ren- trer lans autre aeormalité , en cas que le rélignaraire vint à mourir, ou qu'il rénoncát à la rélignation qui lui au- roit clé aeaite. La commodité de scs. xclignations les rendit aeort commu- ncs , & par conséquent aeort proaeita blcs , ausi la Cour Romaine ne man- qua pas de se les réserver , & de dé- clarer qu’elles ne pourroienr estre admises que par le Pape seul. ‘ Cette lorte de résignations tourtes commodes qu’elles estoicnt , aeurent généralement condamnées par tous les habiles gens , & particuliceement par lUniverlité de Paris. Le Parle-