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étoit également dificilé-& onercuſcà ceux
deCaîtille, à cauſe’ de lcur éloignièment“,
Ajoûtez‘à cela „qué Chatle: Quint con
noiſlóît trop bien ſon intéreſt, ‘pourai
ſer ‘aprocher les François du Róyaumé
de Naples’, auquelle Milanés ſert de reim
part. e IOTA „IVE LZ 7) TIN
“Apropos du Traité de-Crefpi’, ‘il s/
paſſa uné choſe, quirie doit-pás étré o
bliéez; eſt qu’Eticnne de Nefilly ; col
BE duSeigneur d’Annebaut,“ y donna W
ouflet aù Pere Gabriel de Guſman , Co
feſſeur de la Reine Eleoñor , Tequel n
gocioit poúr VEmpereur. Violence, dor!
ilfutbicó puni l’année ſuivante; car aïat!
cſté propoſé au Roy pour remplir Ta plad
du Châncéelicr’ Poyet , le Cardinal ’#
Tournoñ le fit exclure , diſant , qu’
hommeſi emporté n’étoit pas digne d’étr&
ni Plénipoteñtiaire , ni Chancelier ; &
quí celui qui avoit l’humeur & lès mai?
d’Iſinaël, ne’ devoit jamais étre le-ſouv&
rain arbitre des loix.

Henri II. fils de François I. ne fut pS
de meilleure intelligence avec l'Empereut;
que le Roy ſon pere ; & ce fut l'unique
choſe en laquelle il ſuiyit ſes traces , zs ſes

| » y en“

a Chap. 100. note EE.