130 Tyuitè de la Dapohlille des biens, Lexil perpetuel, & lagch, tution au double, contre les ravisseut des biens des Evèques décécleꝝ, 5 n᷑estimoit que leur crime ne füt ttes- éenorme. Et toutefois les Archidiacres de Paris exigent saus scrupule la de- poüille des Curez, bien qu ils u Wenr pas plus de droit que les Gou- verneurs des Provinces „& les autres ciers de Empire en avoient celle des Evẽques, sans faite reflexion que ces exactions tournent au mepris de Dien, G- Vafßoiblissiment du drbi, Vahvel, qul elles sont insapportalles, J elles sont indignes du nom de Cbri- tien, & que ceuae qui les commettent, ne craignemt ni Ja volx de Dieu, ni sa Vengeance des hommes pour user termes de Comnene. En 1éß. Hermengarde vicomtes Narbonne condamne hautement Par la declaration qu'elle fit en pre- bence du Pape Acrien 1W. K sa coh- uite injuste & celle de ses predecei- cuss; qui sestoient saisis de la dé- poüiille des Archevẽques de Narbon ne. Voici comme elle parle dans lE Matriéme Livre de EFlistoire de Lan. Lucdoc, de Monsieur Catel: Au nom