2E DIS COU Ris qu’il envoïa aux Guises , & aux auttes* Chefs de UN 10N, il füt venu à bout des Holländois , qui sot assurément en S 1 R «( core plus obligez de leuï établilsementäßa mauvaise” politique , qu’à’ leuf“courage | Pourquoi donc’, dit’ le’ même Vitrians | apelle t’on‘ce Roy Filippe lé Prudent è le Coloma dit, que c’est parce que toute a | prudence conlistoit à conserver ‘la Reli gion Catoliquez mais du reste'il fit mille tautes “contre la Raison-d’Etat, & col treles règles du bon Göuvernement. Et daris un autre endroit , il dit, que l’Ev& que de Tarazona Don Diego de Yepés dernier Confesseur de Filippe „ lui avo! raconté , ‘que ce Priñce aïánt reconny; vers la fin de fa vie, toutes cs fautes , quid avoit faites dans la conduite des afaires dés Païs-bas, en laissa toute la dirc@tionà Ministres, ayotiant en plein Confeil, qu! n’y connoisloit rien *. Et c’est une des ra” sons, qui le portérert à les donnér en dot à l’Infante Claire- Isabelle, fa fille aînées prevoïant bien'que son fils, qui n’estol! pas doïé d’un grand génie , seroit cg core moins capable de les gouverner qué lui. Jeb a Chapitre 167. E, & Chapitre 1004 G-