48 Livre premier devoient éstre ordonncz. Ils cn Ti- leicnt néanmoins aeort souvent la nomination aux E vêques , aelux rout quand ils estoicnt ‘dans une étroice conaeidence avec eux. Il arrivoit wé- me aslez souvent que ce xapport que les Evêques avoicnt avec les Princes, estoit cause qwils les emploïoicnt à terminer les diaefférens & les‘ procés einbarraslez qui .naisloicnt entre les Particuliers, n respec que l’on avoit pour la réligion dont ils cstoicnct lcs cheaes, leur donnant pour cela plus de créance & d'autorité que neu awoient les magistrats séculicrs. Mais il-haquit de-1à un abus conaeidérable, car les Evêques ‘en prirent ocalion d’äbandonner le soin de la prédica- tión de lEvangile , qui est le princi- pal crploi qu'ils‘ onr'receu du Seci- Sneur zine pouvant pas suaeaeire cn même=tems à deux charges i oppo- sés; Cela donna licu lors qu’il s’a- giaeloir de nommer un Evêque ' de choiaeir plútót un sage sclon:le monde qu’an homme propre aux aeonétions de la Réligioti. Cest ainaeir que'l’on en use cncor à préscht y! 8 lon iene