HISTORIQUE. 65 ſerihonnérement cnvers Maximilien & Fi- Jippe ſon fils, i 3 “tul étoit dit par un autrearticle du Traité ge Blois , que ſi le mariage de Madame laude ayec ¡Charles venoit à maúquer Par le dedit du Roy Tres-Chrétien , où de laRcine ſa femme, le Roy Louïs conſen- toit dés ce jour , quelles Duchez de Bour- B9ghe & deMilan’, -& la Comtéd’Aft de- Meuraſſent au Duc. de Luxembourg, âu- Juélen ce cas il.les cedoit 8 tranſportoit MCC tous les. droits & prétentions qu’il y avoit. Et parcillement, que ſila rupture de ce mariage venoit de la part del’Empé- recur, ou de l’Archiduc, ſon fils, Vun re- Nonceroit à tous les droits qu’il avoit, ou quil pouvoit ayoir au Duché.de Milan, & AUX aUtres Seigncüries, quie;leRoy-tenoît ans Empire; & l’autre, à toutes les pré- tentions, qu’il avoit au Duché de Bour- 898ne,& aux Comtez de Mâcon & d’Au- XCric; & àla Seigneuxriede Bar-ſur-ſcine, tranſportant dés lors au Roy Tres-Chré- Hen &- à „Madame Claude les Comtez Artois & de Charolois „ &les Scigneu- ries de Noyers & de Châtcau- Chinon. Maîis quoique le Roy Louïs cût manqué à ‘aparole,-Maximilicn, qui. manquoittoÜ= Jours d’argent y, ‘ainia ccore mieux Tui ' dón-