( 485) de cette aaeaeaire, n'ot rien nié de tout celaz ce- que aes doute ils n'aurolent pas manque de aeaire, aei ces aeaits n’é- toient pas véritables. Ils n’ont pas même aeait diaeaeiculté de communiquer à la Chambre un Ordre subséquent, envoyé depuis au Duc d’Ormond, pour lui permettre de concou- rir à un Siege; te qui eaet uné autre preuve qu’il avoit re- çÚ auparavant quel JueOrdre pourl’empécher: Autrement ce dernier Ordre seroit inutile & absurde, puis que l’ia- struction générale, constante, & établie pour chaque Com- mandant en Cheae par Terreou par Mer , estde aeaire les der- niers eaeaeorts pour nuireà l’Ennemi par tout où il peut; & il estévident par ce dernier Ordre, que selon les sentimens des Ministres mêmes, il étoit expédient au moins de révoquer en partie le premier Ordre d'empêchement: Mais en lais- aeant sübaeister cet Ordre pour empécher le Duc d’Ormond de livrer Bataille aux Aerançois , cela nous paroît aeort etrange, & incompatible avec la Permission qu’on lui don- nede concourir à un Siége, laquelle devient parlà entiére- ment inutile : Car la prise d’aucune Place ne peut être aei avantageusé aux Alliez que celle de Cambrai, qui ouvre un passage libre à nôtre Armée pour pénétrer dans le coeur de la Aerances Or il est impossible de aeaire le Siége de cette Place, sans chaser auparavant les Aerançois de leur Camp; ce qui eaet impraticable sans une dataillei aei les Aerançois demeurent aeermes. D’autres entreprises ne servirotit qu’à leur donner du tems, dont ils aevent aeort bien proaeiter. TT, Nous estimons que cela est entiérement contraire è Phonneur de Sa Majesté, à la Aeoi publique, er àlaAeuaetice qui est dúe aux Alliez de Sa Majesté, ‘8. que c’est en caetet leur imposer une cessition d’Armes aeansleur consentement, & dela maniérela plus préjudiciable, puis qu’ils n’en avoicat pas la moindre connoiaelance, &qu’ainli ils pourroient être expolezà degrands dangers: Outre que cela nous prive de tous les avantages essentiels contre l’Ennemi commun; ce qui peut être d’une conséquence aeatale à cette Nation, & à toute l’Europe. III Commeles Ministres avouent que l2 Paix Générale Best pas concluëé, à quoi en eaeaeet on ne voit aucune Apa- rence, puis que les Aerançois not donné aucune Réponse par Écrit aux Demandes aepéciaeiques , que les Alliez leur ont commau- niquées il y a trois mois; Etque de plus on déclare , qu’on n'a 4 aeont , C SCA ‘