AeTE. TR 431 Monsieur Louét let. R. n. 26. Voyez succession , noblesse , par- tage. SAeIEAeS-B OURSIERS sonc ceux où il n’y a point de Domaine, & dont le revonu conlaeiste en quelques émolumcens qui entrent en la bourse. Coût. de Chartres art. 17. & de Valen- cienne art. 4. AeIGURE des lieux eaet la description qui s’en aeait par un Peintre ou par un Sculpreur. Il y a une conrestacion pour rai- son de certaines limirtes ; le Juge lur les écritures des parties ne trouve pas aslez d’éclaircissement; il ordonne par un Jugement inrterlocurtoire , que la visite en sera aeaite par des Experts , & la description aeigurée par un Peintre, pour le court aeair & ra POae- cé, êcre ordonné ce que de raison. Ou bien aei le diaeerend eaet sur une maison, que la representation en sera aeaite en relieae ou cn bosse par un Sculpreur, un ‘Architede, ou un Charpentier. Yoyez Imbert en sa Pratique liv. 1. chap. s1. AeILETS de mur sont des rebords qui sc aeont en haut d’un mur méroyen de pierre ou de plâtre des deux côccz, pour mar- quer que le mur appartient à l’un & à l’autre des voisins chacun pour moitié. Si les aeilers ne sont que d’un côré ; par là, que le anur appartient pour le tout à (celui du côcé dugucl ils sont aeaires. AeILLEDUL ou Aeilleule , comme qui diroit petit-aeils ou petite-aeille , sont ceux donc on est Parein ou Marcine, & avec lesquels ayant conrtradé une alliance spiricuclle par le Bapré- mme, on ne peur se marier. Can. ita diligere 30. quest. 2. Panor- mitan. in tit. de purgat. Can. argument. Canon. post susceprum go. 44. 3. C’est ce qui a aeait dire à quelques Dodeurs que les Pareins & les Marcines étoient obligez de aeournir à leurs Aeil- leuls & Aeilleules les choses neceslaires à leur éducation : Eaber. in l. 1. cod. de alendis libers. Budeus de Philologia. Cependant nôtre Usage eaet contraire; on ne peut pas contraindre en Aerance un Parein ou une Marcine è nourrir son Aeilleul ou aea Eilleule : C'eaet la disposition de tous les Arrests qui ‘sont aeondez sur deux raisons , l’une de politique, l’autre de religion. En eaeaeaeer est-il juíte qu’un ade de picté soir nuisible à celui qui l'exerce ? Ec aei cela écoir, il n’y a personne gui n’aimát micux menager ses in- zerests en reaeusant de tenir un enaeant sur lesAeonrts, que de s’en- Lager par certe oeuvre de charité dans une espece d’adopcion, Ll’est'vrai sculemenrt qu’on eaet obligé en conscience 8 par de- "9