{ ; LT E | ( la Suéde. €S. l& Aerate. # : | Y ne PpAaut ‘avoir’ moins:de- raport avec “Mh Y les aaeaeaires de l’Empire. - Carle point | Y dont.il est aeair mention dans le Trak | | jj téde Paix , ne peut pas s?êétendre juae “0h E ques à POR avant que-les in- M 4 téresscz aient éclaré leurs résolutions MN touchanr lc Païs-Bas Espagnol. Uy ) | i a peu de tems que la Aerance a aeait | M À une tentative par le Sicur de Porû- ' | 4 pone son Ambasladeur, pour obrenit MI M que le Cercle de Bourgogne aeüt cx- = M clus du Corps Germanique; & peut- - WW étre: cette Couronne ne cessera-t-elle MY M jamais de aeaire tous-scs caeorts pour M | cette aaeaeaire lIà „parce qu’il est de Y È son intérêt: d’en-agir ainsi. Mais aei Y Y la Suéde. s’unit: à; je Aerancé parun M M lien plus. étroit, Votre: Majeaeténe M 4 pourra point, sans oaeaeenser cette Cous MN ronnéc-son Alliéé, prononcer en qua- “0 lité de ‘principale Partie Contractan- M M te, qué la Bourgógne est un Cercle M M de Empire. D'ailleurs , le Corps | | | Germanique nà encore rien- décidé M Y surcette aaeaeaire là, Ainsi, avant qué M | la dispute soir terminée par les! inté» M | reaelez-il aeaut diaee, qu’on regarde ce 00 | Cercle comme: aeitué hors de PEnmpi- “6 M # re; il semble même que ce soit là le “M © sentiment des Etats de VEnipire, : M Y j te : puis : | I A C y : M 1 M