ij UE de cette aaeaeaire, n'ot rien nié de tout celaz ce- que aes i doute ils n’auroient pas manque de aeaire, aei ces aeaits n’é- IE toient pas véritables. Ils n’ont pas même aeait diaeaeiculté de YL communiquer à la Chambre un Ordre aeubséquent , envoyé } | depuis au Duc d’Ormond, pour lui permettre de concou- Y | rir 4 un Siege; te qui est uné autre preuve qu’il avoit re- MY gú auparavant quel JueOrdre pour l’empécher: Autrement UE ÉE dernier Ordre seroit inutile & absurde, puis que lia- A Î| struction générale, constante, & établie pour chaque Com- M, mandant en Cheae par Terreou par Mer, eaet de aeaire les der- V niers eaeaeorts pour nuireà l’Ennemi par tout où il peut; & il N estévident par ce dernier Ordre, que selon les sentimens des y | Ministres mêmes, il étoit expédient au moins de révoquer N en partie le premier Ordre d'empêchement : Mais en lais- IE aeant subsister cet Ordre pour empécker le Duc d’Ormond M | de livrer Bataille aux Aerançois , cela nous paroît aeort M | etrange, & incompätible avec la Permisaeion qu’on lui don- N nede concourir à un Siége, laquelle devient parlà entiére- M! ment inutile : Car la prise d’aucune Place ne peut être aei M avantageusé aux Alliez que celle de Cambrai, qui ouvre un y paslage libre à nôtre Armée pour pénétrer dans le coeur de M la Aerances Or il est impossible de aeaire le Siége de cette M. Place, sans chaser auparavant les Aerançois de leur Camp; | ce qui eaet impraticable sans une Bataille, aei les Aerançois M H démeurent aeermes. D’autres entreprises ne servirotit N qu’à leur donner du tems, dont ils aeavent aeort bien N | | proaeiter. i i M | TT, Nous estimons que cela est entiérement contraire è M Phonneur de Sa Majesté, à la Aeoi publique, er àlaAeuaetice qui | ael eaet dúe aux Alliez de Sa Majesté, ‘8. que c’est en caetet leur hj imposer une cessition d’Armes aeans leurconsentement, & M dela maniérela plus préjudiciable, puis qu'ils n’en avoient I) pas la moindre connoiaelance, &qu’ainli ils pourroient être M | expolezà degrands dangers: Outre que cela nous privede Ÿ M tous les avantages essentiels contre ‘Ennemi commun; ce M qui peut être d’une conséquence aeatale à cette Nation, & MA à toute l’Europe. M - III Commeles Ministres avouent que la Paix Générale M Best pas conclué, à quoi en eaeer on ne voit aucune Apa- M Hj rence, puls que les Aerançois n'o2t donné aucune Réponse par M: écrit Aux Demandes speciaeiques , que les dAlliez leur ont comms | hl miques il y a trois mois; Étquede plas ondéclare, qu’on n’a | ! aid / À point E is