: Y M de l'ôrigiité des Dimes. 395: \ cela se peur où nón , ce n’est þas Îci ‘ IcHicti de le décider. (454 | J'âjourtérai seulement pour aeinir Y cétte históire que dépuis le commen- | ceinent de ce siécle jusques oùl’on II Pa‘conduité „il n’est point arrivé de 0 chiïngement“ considérable à l'égard | des matieres bénéaeiciales. En Italie I Pon suit à peu prés la réaeormation | aeuite par le Concile de Trente. En M Espagne Pon en use de même à Pexce- | ption de quelques traitez avantageux. N ; aux Papes, qui aeont qu’aprés PIcaliec, M | c’estle páïs du monde où ils ont le M | plus de pouvoir à l’égard des colla- | tions dès bénéaeices. En Allemagne | l’où se cole presque par tour’ sur le Y j concordat Germanique 7, au aeur le Y | Concile de Baste. En Aerance à quel. M | ques choses prés ausquellés-lès Papes ‘ & les Rois ont dérogé “d’un commun. ) consentement’, où sust le concordar: y | passé eútre Leon X. 8e Aerançois I. Ge Y | qui 14 pas einpêché ‘que les Rois ne | E aeisséntde tems en tems des reglemens 4 M touchant“ les matieres bénéaeiciales, | M Mais comme ils regardent plûtót 4 \ Pratique des marieres bénéaeiciales que I Rs R 6. I 1 \ M | I P | |