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| | o Traite de la E EL celti IE
M des biens „l'exil perpetuet „& u

| I tution au'double / contre N s'il
IM dés biens des Evêques décédez trés-
M n’eaetimoir que leur crime ae Re |
M éñtorme. Er touteaeois les Arc M dtn
M de Paris exigent sans Lp n'y |
M pôüille’ des Curez , bien aa |
| N ayentr þas plus de droir que les As

| || verneurs des Provinces EGC lès 4 sur
M Oaeaeiciers de l’Empire cn ¿ayoten ón
M cêlle des Evêques , sans aeaire reaeles aie
M que ces exactions roxrnent au i
M de Dieu , e y aaeaeaiblissement E ;

M naturel » qu’elles sont pp id

N quelles sont indignes du non de O

M tien , er que ceux qui Les commettét la |
M ne craignent ni Lz voix de Dieu, e |
y 7 Vengeance des hommes , pour user |
M termes de Comnéne. D íle |
i) En 1155, Hermengarde Vicomte 0
M de Narbónne condamne haureme |
| Par la declaration qu'elle aeir én pr

Dh lence du Pape Adrien IV. & aea is

M duite injuste 8 celle de ses predecer |
N seurs , qui Sestoient ‘saisis de la E. |
M poülle des Archevêqnes de MELS |
| | ne. Voici: comme elle’ parle dans

| atriéine Livre de PHisßtoive de id

I gledoc, de Monsieur Cartel : A410

I

| }