M | ael 444 Traité dela Dépeouille y M dens se sont rrop ouvertement decla- Ty Y rez contredles usurpareursde la PICcEN n BI sion des Ecclestastiques,, pour neu 4 M donner sujet de croire , qu’il y en 24 1 M d’autres qui aeavorisent cnquelque 4 al | çon les pretenaesions des ACNE ne I qui s'emparent de la dépoüille des 4h M Curez. Les Archidiacres neanmoins qu M nous en oppolenr-quelques-uns > sus Wr M lesquels ils s imaginent pouvoir érablir le) M leur droit’ imaginaire ;z & pour leur ] M aeaire voir que nous disputons sincere- (to D ment & de bonne aeoy, nous leur en' di — } aeournirons- encore d’autres „. dont il D E léutsera peimis de tirer des consequen- q N ces à leur avantage, mais dont l’auto- C M rité.ne nous sera nullernent préjudicia- A | ble, Il-les aeaur tous produire icy. de lz Y suite , & sclon l’ordre des temps: C N Le 1. eaet le Concile de Poitiers. Cn lh M 1280. semble permettre aux À rchidia- k MY cres: & aux: Archiprêcres de prendre a M aut moins la! quarentiéme partie des: so M revenus dés Curez- aprés leur mott-- û | Câr voicy ‘conne il parie: a Mone-: ti | mus una: manitione perhibira pro di NI omnibus , Archidiaconos , ey Atchi= Y | Prtsbyteros: ut quidjuid. de- provens | (6),c 8p d I | | | ¿