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Monaesieuy Louëét let. R. n. 26. Voyez succession , noblesse , par-
tage.
AeIEAeS-BOURSIERS sont ceux où il n’y a point de
Domaine, & dont le revonu conlaeiste en quelques émolumcens
qui entrent en la bourse. Coût. de Chartres art. 17. & de Valen-
cienne art. 4.
AeIGURE des lieux eaet la description qui s’en aeait par un
Peintre ou par un Sculpreur. Il y a une conrestacion pour rai-
son de certaines limirtes ; le Juge lur les écritures des parties ne
trouve pas aslez d’éclaircissement; il ordonne par un Jugement
inrterlocurtoire , que la visite en sera aeaite par des Experts , & la
description aeigurée par un Peintre, pour le tourt aeait & r'appor-
cé, êcre ordonné ce que de raison. Ou bien aei le diaeerend eaet sur
une maison, que la representation en sera aeaite en relieae ou cn
bosse par un Sculpreur, un ‘Architede, ou un Charpentier. Yoyez
Imbert en sa Pratique liv. 1. chap. s1. 2
AeILETS de mur sont des rebords qui sc aeont en haut d’un
mur méroyen de pierre ou de plâtre des deux côccz, pour mar-
quer que le mur appartient à l’un & à l’autre des voisins chacun
pour moitié. Si les aeilers ne sont que d’un côré ; par là, que le
anur appartient pour le tout à (celui du côcé dugucl ils sont
aeaics. |
AeILLEDUL ou Aeilleule , comme qui diroit petit-aeils ou
petite-aeille , sont ceux donc on est Parein ou Marcine, & avec
lesquels ayant conrtradé une alliance spiricuclle par le Bapré-
mme, on ne peur se marier. Can. ita diligere 30. quest. 2. Panor-
mitan. in tit. de purgat. Can. argument. Canon. post susceprum
go. 94. 3. C’est ce qui a aeait dire à quelques Dodeurs que les
Pareins & les Marcines étoient obligez de aeournir à leurs Aeil-
leuls & Aeilleules les choses neceslaires à leur éducation : Aeaber. |
in l. 1. cod. de alendis libers. Budeus de Philologia. Cependant
nôtre Usage eaet contraire; on ne peut pas contraindre en Aerance
un Parein ou une Marecine è nourrir son Aeilleul ou ha Aeilleule :
_ Cestla dispohicion de tous les Arrests qui ‘sont aeondez sur deux
raisons , l’une de politique, l’autre de religion. En eaeffer est-il À
juíte qu’un ade de picté soir nuisible à celui qui l'exerce ? Ec aei
cela écoir, il n’y a personne gui n’aimát micux menager ses in- ZNS
zerests en reaeusant de tenir un enaeant sur lesAeonrts, que de s’en-
ager par certe oeuvre de charité dans unc espece d’adoprtioh,
__ Lest'vraiseulemenrt qu’on est obligé en çonscience 8 par de-