s EEE: | N Y | y 116 Des Alliances eE ' fuadée qu’on ne doit ricn donner. à Y} l’ambitio#, ni aux autres, paſlions, Y} aura voulu conſidérer uniquementla Y | cauſe dans cette Guerre; & cela pour FJ afermir le repos de la Chrétienté, Y le bien & la ſûreté inaltérable de | Votre Majeſté & de tout le Roiau- Jj me. Si nous meſurons Nos deſſeins Par cette régle, do qu’il puiſle ar» FJ river un jour , Votre Majeſté & lcs JF Etats du Roiaume pourront très bien la défendre quand il en fera tems. | : Par tout ce que nous avons dit F j juſques ici, nous croions avoir ſatis» FJ j fait à co que le Devoir &1a Conſcien« | Þ ce éxigcoient de nous dáns une affai- Y re fi importante. Nous ſupplions | très humblement Votre Majeſté d’a« FP , voir la bonté de croire » conformé« FJ ZY ment à 2 prudence & à ſageſle - F | incomparable , que ces.avis , quels F qu'ils ſoient, partent d’un zéle ſin- || | cére & très fervent envers Votre Ma- M | jeté & notre très chére-Patric : que . | | Voie Majeſté veuille bien étre pera F ſuadée que nous ſouvcnant très bicn F + du Serment de fidélité qui nous lic F à Votre Majeſté & au Roiaumc , Y | Nous ne chercherons pas moins dans | Lette Aaſlaire , nónobſtanr Ics raiſons F A : TE EE OE | : A