km droit Erclefifiiqfæ. 17 9 & l‘es exciter à fréquenter les laue- mens. Chaque églife cathédrale doit avoir au moins un feminairc entierement foûmisà la conduire de l’evêque , qui doxr en prendre un foin très-particu- lier. Le nombre des feminariftes doit être fixé , & toujours rempli. Pour donner du revenu au féminaire, le concile permet à l’évêque de prendre une partie des fruits de tous les biens ecclefial‘ciques du diocéfe , ou d'unir quelque bénéfice à fon féminaire. Telle ef'tl’inl‘titution des féminaires, fuivant le concile de Trente ; & l’on en voir l’exécution parfaite dans l’hi— fioire & les aires de 5. Charles. EnÎrance quelques évêques l’imi- terent ; & l’ordonnance de Blois ens- joignit à tous d’établir des (éminai- res : ce qui a été confirmé depuis par d’autres ordonnances , & encore plus parla pratique ;enforre qu’il y en a dans la plûpatr des diocefes. Mais comme on a vû qu’il étoit difficile de juger de las vocation des enfans', & que fouvent après avoir étéelevez à grands frais dans des {éminairçs , H vj_